Silo. Origines

Seulement 5 jours pour avaler ce tome 2 ! Même après 3h du matin, difficile de me l'arracher des mains ! Constamment sous une pluie de révélations les plus incroyables les unes que les autres ! Un livre très bien conçu ou l'on ne s'ennuie jamais !

Après un premier tome un peu avare en informations quant au contexte de la catastrophe, ce deuxième tome nous replonge au origine de la catastrophe et nous fait revivre dans la douleur les événements passés. Certains passages font froid dans le dos et l’on repense au premier tome (vers lequel des ponts sont tendus) avec un nouveau regard. Même si la surprise du premier tome n’est plus là, ce livre reste un très bon livre de SF !

Je viens de terminer le second tome de la trilogie "Silo". Dans le premier tome, un monde apocalyptique nous était présenté avec un nouveau mode de vie. Dans ce second tome, vous découvrez au fil de l'histoire les origines de ce monde. Comment l'humanité en est arrivée là... En plus de l'origine même de ce monde, vous apprenez plus précisément ce qu'il s'est passé entre sa création et le récit du premier tome. Tout en étant écrit d'une tout autre manière, il n'en reste pas moins aussi passionnant que le premier. En effet, l'histoire se passe à des époques différentes et dans des lieux différents et nous suivons l'ensemble en parallèle sautant de l'un à l'autre suivant les chapitres. Ce livre nous dévoile également le but de la création de ce monde apocalyptique... Avec le troisième tome, nous allons voir ce qu'il va en advenir...

Contrairement au premier, on met un peu de temps à se mettre dedans. L'histoire a tendance à stagner. Cela nous met cependant l'eau à la bouche pour le troisième qui devrait répondre à toutes les questions posées dans ce tome.

Ça commence bien et fort, et le soufflet retombe, puis ca repart vers un beau final. Il a été ardue à lire ce tome 2 et il fait 700 pages. Il a fallu que je lise d’autres livres pour m’aérer la tête avant de le reprendre et de le terminer. La fin va m’obliger à lire le tome 3, pourtant je m’étais dit que j’arrêtais 😉