La popularité de ce livre sur Gleeph
900
j'ai
303
wishlist
45
je lis
575
j'ai lu
203
j'aime
Ma note
Note moyenne
3.14(7 notes)
1.3k personnes l'ont dans leur bibliothèque
Petit_T...
Robot_G...
marcoum...
Coco
Asclepi...
juju
Eva
Aurore5...
Raf1824
Le garç...
9 avis sur ce livre
- Fannyprune- 02/02/2024Victoire du Château par KOLe Château, allégorie d’une administration tentaculaire et impénétrable contre laquelle se bat K., arpenteur. Un roman bien trop long à mon goût. Une fois la critique du « Château » comprise et intégrée, on comprend mal ce qui justifie les centaines de pages où rien de plus ne se passe. Les personnages du roman, soumis à l’influence du Château et œuvrant dans son ombre, travaillent à rendre la mission de K. impossible à mener, alimentant les incompréhensions, controverses, difficultés et lenteurs administratives, le tout sous le feu d’une hostilité partagée par tous les protagonistes. Le style est plaisant, mais je sors de cette lecture avec le sentiment de m’être heurtée à un mur et d’avoir moi aussi échoué à pénétrer les secrets du Château. J’ai finalement abandonné ce livre et K., visiblement bien plus courageux et tenace que je ne le suis.40
- Alex.- 20/02/2020⭐⭐⭐⭐Une suite de petits événements, l'un après l'autre. Les conversations sont banales - et pourtant tout est si beau, curieusement captivant!40
- Bogue- 10/10/2024Des robes pleines de mystèreComme j’ai aimé me faire berner par les discours des personnages, je ne savais jamais qui croire. C’est cette force de persuasion, et cette remise en question constante qui m’a le plus plu, dans cet ouvrage. Ce pauvre K., le métier d’arpenteur n’est pas facile, mais il s’y est tenu, d’une certaine manière. En effet, dans son métier, l’arpenteur délimite les contours d’espaces géographiques précis. Et K., en restant dans le village, s’approchant un peu du Château au début du roman, délimite, trace les contours de ce qu’il ne peut atteindre. Klamm a raison ! K. effectue correctement son travail. Il arpente, mais ne pénètre pas. Je me demande, en revanche, pourquoi K. tient tant à rester dans ce village enneigé, semblant ne jamais connaître aucun répit. Ps: L’hôtesse de l’auberge est tellement mystérieuse.. Est-elle la « nouvelle » maîtresse de Klamm ? Et puis qu’est-ce qu’elles ont, ses robes ? Dommage que le roman s’arrête là…10
- Hildegunst- 16/08/2024Un roman bizarreQue de mystères autour de ce château qui semblent vouloir s’éclaircir et pourtant, la désillusion nous frappe de plein fouet lorsqu’on comprend que K. ne pourra jamais en atteindre le sommet. Des superbes dialogues, en particulier avec Frieda et l’absurdité de l’atmosphère comme lorsque K. n’arrive même pas à parvenir au château, pourtant proche de lui, après une journée de marche rendent le roman captivant mais malheureusement beaucoup de texte superflu et compliqué vient ternir l’histoire et rend le roman parfois trop lourd. De plus, beaucoup de frustration et de questions étant donné que le roman est inachevé. Malgré cela le mot « kafkaïen » est parfaitement illustré dans ce roman et Kafka montre encore à quel point il maîtrise cet univers oppressant à la perfection.10
- faustinprt- 20/08/2023L’Olympe de l’absurde“Je suis enfermé dehors”, cette phrase est ambiguë, puisqu’il est difficile d’être enfermé à l’extérieur. Pourtant, c’est bel et bien la situation de K., un arpenteur convoqué par “Le Château” afin d’accomplir une mission qu’il ne connaît pas, tout comme le lieu où il se rend. Les fonctionnaires de cet “Olympe” sont inatteignables, et sont au dessus des villageois qui doivent eux-mêmes subvenir à leur besoin. L’absurdité est omniprésente, K. croit qu’il doit réaliser une tâche importante, cependant, tous les personnages du roman lui démontrent que sa mission et sa présence sont insignifiantes face à la sacralité du Château : “Vos actions vont peut-être laisser de profondes traces dehors dans la neige de la cour mais pas davantage.” Toutes les étapes du roman se répètent, K., un simple inconnu avance dans l'ignorance et l’obscurité. Alors qu’il se croit sur le bon chemin, ils s’éloignent à chaque fois du Château. Dans cette atmosphère sombre, le roman nous laisse dans un paradoxe inexplicable. En effet, le livre étant inachevé, il se termine au milieu d’une phrase - en passant, merci Max Brod ne pas avoir brûler les cahiers de Kafka comme il l’avait demandé. Ce livre peut être interprété selon la vision de chacun de la bureaucratie, de l’absurde et du sens de la vie.00
Ce livre est dans 5 étagères
Livres du même auteur
livres similaires
La nausée
Jean-Paul Sartre
Les Ames Mortes : Tome 1
Nikolaï Vasilievitch Gogol
La mort d'Ivan Illitch. Maître et serviteur. Trois morts
- Mort à crédit Tome 1Louis-Ferdinand Céline
Mort à crédit Tome 1
Louis-Ferdinand Céline
Les démons. Vol. 1
Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski
La plaisanterie
Milan Kundera
Récit d'un inconnu : et autres nouvelles
Anton Pavlovitch Tchekhov
La condition humaine
André Malraux
L'exil et le royaume
Albert Camus
Le loup des steppes
Hermann Hesse
Données bibliographiques fournies par