Bogue- 10/10/2024

Des robes pleines de mystère

Comme j’ai aimé me faire berner par les discours des personnages, je ne savais jamais qui croire. C’est cette force de persuasion, et cette remise en question constante qui m’a le plus plu, dans cet ouvrage. Ce pauvre K., le métier d’arpenteur n’est pas facile, mais il s’y est tenu, d’une certaine manière. En effet, dans son métier, l’arpenteur délimite les contours d’espaces géographiques précis. Et K., en restant dans le village, s’approchant un peu du Château au début du roman, délimite, trace les contours de ce qu’il ne peut atteindre. Klamm a raison ! K. effectue correctement son travail. Il arpente, mais ne pénètre pas. Je me demande, en revanche, pourquoi K. tient tant à rester dans ce village enneigé, semblant ne jamais connaître aucun répit. Ps: L’hôtesse de l’auberge est tellement mystérieuse.. Est-elle la « nouvelle » maîtresse de Klamm ? Et puis qu’est-ce qu’elles ont, ses robes ? Dommage que le roman s’arrête là…