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Résumé
J'étais dans le noir tard dans la nuit tôt dans la vie j'écrivais ou je hurlais personne n'aurait su dire
970 personnes l'ont dans leur bibliothèque
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14 avis sur ce livre
- Maks_237- 07/01/2022Une pépite de poésie moderne !Encore un beau livre de poésie dans la superbe collection "Or des lignes" de Frison-Roche Belles-lettres. Ici Pauline Bilisari nous raconte avec des mots tendres et doux, sa mélancolie. Une mélancolie qui va évoluer avec elle, au fil du temps pour devenir de plus en plus lumineux. Du désespoir au doute, puis du doute à l'acceptation. L'acceptation de ce qu'elle est, l'acceptation de son chemin de vie. J'ai vraiment apprécié sa plume qui retranscrit les émotions très fortes, parfois très dures mais toujours avec simplicité et douceur. Cette collection n'en finira pas de m'etonner autant qualitativement que visuellement, tout y est, les Belles lettres, l'Or des lignes, la charte graphique moderne, les illustrations sobres. Si vous aimez la poésie moderne qui met des mots sur les sentiments, ce livre poétique est pour vous ! Extrait choisi : J'aimerais tant prendre dans mes bras la petite fille que j'étais et lui dire que tout ira bien que rien n'est de sa faute et que c'est le monde qui n'est pas adapté92
- Éden Vembaud - 08/05/2022un pansement pour les coeurs trop abîmésce que j’aime chez Pauline et dans ses recueils c’est que tout ne tourne pas autour de l’amour qu’on porte à autrui mais plutôt à celui qu’on ne se donne pas à nous-mêmes. Ici, Pauline dépeint avec une grande sensibilité, et une grande justesse les maux que beaucoup (trop) d’entre nous avons un jour ou l’autre (malheureusement) vécu. Ayant déjà lu son premier recueil « Ça ira » je ne peux que voir l’évolution flagrante de sa plume, le fait qu’elle fasse preuve d’un peu moins de pudeur concernant ses écrits. Qu’elle ose dire, les maux de l’âme, ceux qu’on ne veut pas voir. Tout est plus mature, plus travaillé et réfléchi et en même temps sensible. Cette sensibilité qui caractérise bon nombre de personnes mais d’autant plus celles qui comme moi, comme Pauline, sont zèbres, hypersensibles, un des thèmes abordés dans son recueil. J’ai été marqué, touché, par chacune des pages sublimées par les illustrations de Flore. Je me suis laissé transporter par une vague d’émotions significatives. Parce que ce qui est remarquable avec Pauline c’est qu’elle sait joliment écrire ce qui fait mal. Tout est si bien fait que je ne saurai quoi dire d’autre dire à part de vous le procurez. Il est comme un pansement pour les coeurs trop abîmés. Les cœurs qui ont besoin de croire que demain, le soleil reviendra91
- philys- 16/05/2022Douceur et profondeurC’était une lecture très douce et profonde à la fois. J’aime la sincérité avec laquelle Pauline partages chaque morceaux de ce qu’elle est, de la façon dont elle tombe, dont elle ramasse les morceaux, se reconstruit, et simplement celle dont elle vit. Et c’est cette sincérité dans l’émotion qui me touche avant tout. Pauline a su remuer la part de pluie et de soleil qui m’habite. Je la remercie pour ses mots. ☀️81
- lire_un_max- 11/11/2021Incroyable 🌟C’est le premier recueil de poésie que j’ai eu l’occasion de lire, et je n’en suis pas déçu 😩🤍. J’ai même pas les mots pour décrire la beauté de ce livre 🥲 Juste par des mots, l’autrice nous transporte, boulverse, tout ça en quelques lignes. Les dessins, les mots, la plume, tout était incroyable. Merci encore à Pauline pour cette superbe découverte 🤍🤍🤍61
- Des Livres Mon Univers- 22/11/2021Une pépite à garder très précieusement comme un secret.C’est encore une très belle découverte ! C’est avec ce recueil que m’est révélée Pauline Bilisari qui a su poser des mots sur ses maux avec justesse. Ce guide poétique est construit en quatre parties : crépuscule, éclipse, aube, aurore. Je parle de guide car au fil des pages, je me suis vue aussi à travers ce langage ailé, ce qui m’a poussée à faire aussi une rétrospection. Dans le crépuscule et éclipse, j’ai ressentie cette grande tristesse et puis dans l’aube et aurore, j’ai fini par revoir le soleil. Une écriture vibrante et inspirante ! Un récit où je me suis reconnue à certains endroits, je me suis rappelée ce mal-être, la non-acceptation de soi, le consentement, l’hypersensibilité… Ce que je constate c’est que grâce à des autrices comme Pauline Bilisari qui osent partager et affronter cette période de leurs vie dans l’écriture, cet exutoire est hautement bénéfique pour tous celles et ceux qui souffrent en silence, Ces autrices nous donnent de l’espoir qu’un jour tout ira mieux, je pense que nombres de personnes peuvent s’y retrouver tant le sujet est vaste. C’est avec grand plaisir que j’ai retrouvé les illustrations de la talentueuse Flore Perrault, autrice du recueil de Tout ce que je n’ai jamais su te dire.51
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