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Résumé
L'Hallali Les Furies, ces tueurs à gages sans foi ni loi, sont de retour dans la vie d'Yvonne Chen. Alecto, leur chef, lui propose de participer à l'une de leurs danses : deux frères se disputent un prestigieux vignoble et il ne doit en rester qu'un. Chen, désormais agent infiltré de la DGSI, y volt l'occasion rêvée de piéger ces assassins. Lancée dans un jeu de faux-semblants au coeur d'un hiver glacial, elle va devoir décider de quoi elle se fera l'instrument. La justice ou bien le châtiment ? Tout bascule quand les fantômes du domaine s'en mêlent. Eux aussi réclament vengeance. Un nouveau polar renversant porté par l'humour et le talent d'illusionniste de Nicolas Lebel, où chaque hypothèse du lecteur se voit pulvérisée page après page jusqu'à la révélation finale.
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- Petillenana- 29/03/2023Coup de cœur pour cette danseSi la plume de Nicolas Lebel m’a déjà conquise par ses précédents opus, je me suis complètement laissé balader par cette danse des Furies !!! À en perdre la tête, heureusement qu’il se dévore.40
- Zibounie - 10/06/2023Terrible !Après Yvonne à la plage… Yvonne à la montagne ! Et ça décoiffe. Entre barbouzes et Furies qui manipule qui ? Alors sautez dans votre doudoune et courez vite déguster ce délicieux vin de glace, entre humour, phrases cultes et scènes d’anthologies vous ne serez pas déçu ! Et tant que vous y êtes… Lisez les deux premiers le Gibier et la Capture et puis tous les capitaine Mehrlicht aussi. Hop ! Hop ! Hop ! C’est un ordre ! Moi autoritaire ? Jamais quand il s’agit de lire NICOLAS Lebel 😉.20
- 9644cff2- 02/05/2023Coup de cœur !Bienvenue dans le troisième tome de la série consacrée à Yvonne Chen et aux Furies. Accrochez vos ceintures, Nicolas Lebel est un génie furieux du polar et ce livre est un immense coup de cœur ! Yvonne Chen est contactée par Alecto, chef des Furies, ce groupe de tueurs menant des "danses" macabres pour des commanditaires inconnus. Ce dernier, après deux danses passées à se traquer souhaite la recruter. Elle accepte. En tant qu'agente de la DGSI. Le théâtre des opérations, un château et un domaine viticole au milieu des Vosges enneigées, seront propice à sa vengeance. Mais qui joue un rôle et qui n'en joue pas ? De faux-semblants en vérité et en mensonge, Yvonne Chen va devoir jouer serré. Quelle. Intrigue ! J'ai devoré ce livre en moins de 24h et j'ai passé mon temps à être surprise, étonnée. Je me suis faite baladée par le bout du nez. La plume de Nicolas Lebel est au rendez-vous. Immersive, humoristique et surtout joueuse. Car c'est bien le lecteur à qui il tend la main pour l'entraîner dans cette troisième danse. Il maîtrise si bien son sujet que je l'ai suivi les yeux fermés. Cette double intrigue entre les Furies et la DGSI est tout simplement parfaite. Avec au milieu, le nec plus ultra, Yvonne Chen. Je me déclare fan numéro 1 du personnage d'Yvonne Chen. Son évolution depuis le premier tome est certes sombre mais avec un esprit et un mental d'acier. Une femme forte comme on a peu l'habitude d'en voir. Le personnage d'Alecto est très intéressant car très louvoyant. Jamais on ne sait s'il dit la vérité, ce qui le rend complexe à décrypter. Pour le plus grand bonheur du lecteur. Enfin, tous les personnages bénéficient d'une psychologie finement travaillée, ce qui permet au roman d'être aussi qualitatif. Un coup de cœur pour ce troisième tome des Furies et d'Yvonne Chen, avec un seul espoir : un quatrième ?20
- Chris5867- 18/05/2023Le vin de glace est tiréTroisième volet de la série des « Furies », il est impossible de résumer, même brièvement, l’intrigue de « L’Hallali » sans gravement spoiler les deux tomes précédents. L’intrigue de ce troisième volet étant étroitement imbriquée à celle du second tome « La Capture », qui elle-même était la conséquence directe du premier « Le Gibier », il est donc impératif de lire cette série en intégralité et dans l’ordre. Faute de quoi on passe totalement à côté de toute la densité d’une intrigue à la fois complexe, hyper cohérente et passionnante. Nicolas Lebel réussi une troisième fois à nous embarquer avec lui sur la piste des « Furies », cette organisation criminelle aussi réduite (3 membres) que redoutable. « L’Hallali » est un immense jeu de piste doublé d’un jeu de dupes, dont la grande partie se déroule dans un château vosgien isolé et recouvert de neige, sous des températures glaciales (cela a son importance). Les « Furies » jouent au chat et à la souris avec la DGSI, qui les traque à coup de coups fourrés et d’infiltrations. Mais qui infiltre qui ? Qui collabore avec qui ? Qui est du côté du Bien et qui est du côté du Mal ? Et au final, qui trahira qui ? Bien malin qui peut répondre à ces questions tant l’intrigue n’en finit pas de rebondir, de changer de braquet, de nous surprendre. Le suspens est parfaitement tenu jusqu’au rebondissement de milieu de roman. On croyait tout comprendre, et dans la seconde partie du livre on est scotché par les coups de théâtre qu’on n’avait pas vu venir, les têtes à queues, les flash back qui remettent tout en cause. Et pourtant, jamais on ne perd le fil, Nicolas Lebel réussi une troisième fois à mener une intrigue complexe (et originale) en étant clair comme de l’eau de roche. Il y a dans la série des « Furies » un sens du récit et une construction en trompe l’œil qu’on aimerait voir plus souvent dans les romans noirs et les polars. L’humour n’est jamais absent d’un récit qui n’oublie pas, au passage, de s’ancrer dans l’actualité et le réel, tout en nous racontant une histoire hors du commun. A quelques encablures de la fin du roman, impossible de deviner comment les choses vont tourner, impossible de prédire si ce troisième tome sera le dernier ou non, c’est peu dire que Nicolas Lebel sait ménager ses effets. Et même une fois le livre terminé, une fois la dernière phrase lue, on se demande si c’est fini ou pas, personnellement j’espère que non… Yvonne Chen, encore une fois au cœur du récit, se révèle au final un personnage attachant. J’avoue que dans « le Gibier », elle souffrait de la comparaison avec son coéquipier, mais plus on avance dans la série, plus on se dit qu’entre tous les personnages, c’est sûrement elle la plus droite et c’est la seule qui ne se compromet pas en naviguant entre Bien et Mal au gré de ses intérêts. Ce que l’on prenait au début pour de la psychorigidité, se révèle être de la droiture et un certain sens de l’honnêteté. Droite et fidèle à elle-même, elle devra malgré tout choisir clairement son camp à la fin. Ce dernier chapitre, assez dérangeant je trouve, clôture (pour l’instant ?) une trilogie de haute volée, une sorte de labyrinthe littéraire ou on a adoré errer longuement.10
- Evergreen13- 21/04/2023Quand le vin est tiré... 🍇🍷Rentrée bredouille de son court séjour sur l’île de Morguélen, Yvonne Chen se morfond à Paris : Mojitos, Netflix et m&m’s ça va 5 minutes mais pas plus ! Car Yvonne ne perd pas de vue sa cible, les Furies qu’elle pourchasse en vain… Il se pourrait bien, finalement, qu’elle touche prochainement au but : à Morguélen, Alecto lui a fait une surprenante proposition et lui a promis de la rappeler, un de ces 5, pour avoir sa réponse. Un non, et les Furies disparaissent (encore), un oui, et Chen les rejoint pour participer à l’une de leurs fameuses danses. Yvonne, qui a troqué son insigne de la police pour celui de la DGSI, accepte l’offre d’Alecto. Le jeu peut commencer. Il se déroulera dans les Vosges, dans un domaine viticole prestigieux produisant un vin de glace de renommée internationale, dont les propriétaires, deux frères, Herman et Ulbricht les barons de Lieselshertz, ont dilapidé leur fortune. L’un (Herman) presse l’autre de vendre ce qui peut encore l’être (le château, les vignes, la cave d’exception) : c’est lui le commanditaire des Furies. Elles doivent amener le frère récalcitrant à réaliser la transaction. Yvonne jouera le rôle de la directrice commerciale d’une très grosse maison de négoce du vin, Megara celui d’une concurrente. Tisiphone est déjà sur place et s’est fait embaucher comme homme de confiance auprès d’Ulbricht de Lieselshertz. Mais Alecto a également fait une promesse à Yvonne Chen : il n’y aura aucune violence, aucun meurtre… pas même « sans faire exprès ». Une danse de tout repos. Promis, juré. Ce troisième volet de la série « Les Furies » est incontestablement le meilleur. En refermant le livre je n’ai qu’un regret : je l’ai lu trop rapidement ! Je lis rarement tous les tomes consacrés par un auteur au même(s) personnage(s) (avec Hugo Boloren, la dernière fois, ça n’a pas été très concluant...) mais là j’ai vraiment eu envie de voir jusqu’où Nicolas Lebel allait nous emmener. Oserait-il faire franchir le Rubicon à Yvonne Chen ? Quels stratagèmes allait-il pouvoir encore inventer ? Après la chasse et les échecs, à quel jeu allait-il nous entraîner (petit indice : médiéval) ? La série (à l’instar de certaines, télévisées) pourrait-elle se renouveler ou n’allait-elle pas s’essouffler ? Alors, y-aura-t-il une « suite » ? A bien y réfléchir, je ne le pense pas. De plus, la fin m’a pleinement satisfaite. Je remercie très chaleureusement NetGalley et les Editions du Masque pour la confiance témoignée en m’envoyant ce super polar. #LHallali #NetGalleyFrance10
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