Désirs postcapitalistes

Dans sa préface, Louis Morelle se défend de l'idée que ce volume pourrait être perçu comme un "fétichisme de l'archive". Pourtant, devant cette retranscription de cours brouillonne où Fisher – plus à l'aise en tant que blogueur qu'orateur – ne brille pas particulièrement, on pourrait légitimement se poser la question. Il y a de quoi picorer, certes, mais le choix d'Audimat reste douteux : pourquoi publier ces notes incomplètes alors que le dernier ouvrage de Fisher « The Weird and the Eerie » reste à ce jour indisponible en français ?