Eugénie Grandet

Lu pour l'école au début de l'année 2020/2021. Je crois avoir rarement autant détesté un livre que celui-là et pourtant le résumé m'intéressais un peu. Je l'ai trouvé ennuyeux et inintéressant, notamment à cause des immenses descriptions. J'ai surtout haï le personnage d'Eugénie qui est aussi inintéressante que le livre, je n'ai éprouvé aucune compassion envers elle... Alors que je lit plutôt rapidement j'ai mis plus de deux semaines à le finir et si ce n'était pas une lecture imposée à l'école je ne l'aurais sûrement pas terminé. J'ai détesté ma professeur de français toute l'année pour nous avoir fait lire ce livre. Bref, ce fut un supplice... Ma note : 0/10 (oui, j'ai vraiment pas aimé)

Classique, facile à lire et sans hésitation.

Le roman qui décrit les « mentalités sous la Restauration et mène également une étude de l’évolution de caractères différents au cours du temps », un classique passionnant

Il est perturbant de découvrir un livre qui n’est pas découpé en chapitres. Pour autant, malgré certaines descriptions un peu assommantes (mais nécessaires), on se plaît à découvrir cette tranche de vie dans le Saumurois de la restauration.

Balzac nous livre le portrait d'un avare, Grandet dont la passion pour l'argent triomphera aux dépens de sa famille. Eugénie sa fille, est un personnage touchant, comme sait si bien les créer Balzac. Le récit mêle les tonalités et montre avec beaucoup de lucidité le pouvoir du dieu Argent, en cela il est incroyablement actuel.