Quelle plume !

Un sujet difficile : un infanticide. 150 pages pour le raconter. C’est court, mais tellement bien écrit ! On nous plante le décor : une naissance, avant ça une rencontre, et puis le drame. Ça va vite, ça va fort, ça bouscule. On nous évite des longueurs inutiles, le tout avec un soupçon de poésie. Je suis tombée en amour pour le style de l’auteure à la plume vive et tranchante, douce et élégante.