Julie.Julie- 21/07/2023

Dans un état proche de l'Ohio...

Sans voix, sans mots_ pour dire comme c'est beau. Diablement beau. Là où Betty ne m'a laissé qu'une égratignure, L'été où tout a fondu m'a fendue_ en morceaux. L'un profondément triste du destin des personnages et l'autre émerveillé par l'écriture sensible de Tiffany McDaniel. Du Gallmeister par excellence ! Merci à eux et à Gleeph pour cet envoi estival. "En gros, tout ce qui pouvait fondre a fondu." Mon cœur compris. Mention spéciale à la délicate traduction de François Happe. "Y aura jamais un homme assez grand pour prendre le ciel de haut."