Delphine Horvilleur est rabbine. À plusieurs reprises je l’ai entendue dans des émissions de radio, dans des conférences.
À chaque fois je ressors grandie par tant de lumière, d’intelligence et de sagesse. Une sacrée nana.
Dans « Vivre avec nos morts » que je n’ai pu lâcher ces 48 dernières heures, elle m’a une fois de plus enthousiasmée. Et pour enthousiasmer avec la mort, faut quand même faire fort.
Delphine Horvilleur est une conteuse. Elle narre son métier si souvent confronté à la mort, ses interrogations, ses douleurs, ses réflexions à travers des moments qu’elle a vécu avec les familles endeuillées ou des personnes confrontées à leur mort prochaine.
Dans son récit, son humour ne la quitte pas. Et c’est précieux.
La vie déborde de ce livre.
On en ressort rasséréné avec l’envie de croquer la vie et de continuer à faire vivre nos morts.
Un livre à offrir, à transmettre.
« Après notre mort, il y a ce que nous ne savons pas. Il y a ce qui ne nous a pas encore été révélé, ce que d’autres en feront, en diront et raconteront mieux que nous, parce que nous avons été »
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Vivre avec nos morts : petit traité de consolation
Lumineux
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Vivre avec nos morts : petit traité de consolation
Delphine Horvilleur
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