Plus grand que le ciel

Mon autrice doudou, celle dont je redécouvre chaque année sa plume et la beauté de celle-ci. Peu importe l’histoire, elle aura toujours les mots, la façon de les écrire, de me toucher au plus profond de moi. Je garde pour chaque personnage une place particulière dans mon cœur. J’aime les références qu’elle peut faire, sa façon de décrire la douleur tout en faisant chaque fois transparaître aussi l’amour. Des personnages au cœur tendren comme Elsa et Vincent. Le genre de rencontre qui va bouleverser ta vie, la remettre sur les rails. J’ai aimé chaque mot, chaque phrase, chaque page. C’était beau, émouvant et rigolo à la fois. Parce que oui j’ai rigolé à certains passages, c’est ça que j’aime. Avoir le cœur gonflé d’amour et pouvoir décompresser de temps à autre par une phrase par ci par là qui te fasse rire. Encore une fois, un grand merci à vous @virginiegrimaldi pour vos écrits. 💜

Le 10ème roman de Virginie Grimaldi. Je les ai tous aimés mais celui-ci m’a moins transportée… Je n ai pas réussi à être dans le personnage masculin, qui est auteur, et qui déborde de Virginie Grimaldi. Je ne voyais qu elle à travers le personnage. On sent que c’est un livre plus intime, qui lui a permis de s’écrire, de côtoyer le deuil de son père et ses difficultés et questions en tant qu’auteure. C’est une question de goûts, ça arrive. Très fort moment avec les remerciements où Virginie Grimaldi partage toujours quelque chose de spécial, une sorte de journal intime et touchant avec le lecteur. J’aime malgré tout son écriture et son style si personnel. À lire pour se faire son propre avis

Voilà, je pleure encore, ma rengaine de chaque nouvelle année qui passe, accompagnée des mots de Virginie Grimaldi. Voilà, je pleure encore. Je vis encore. Parce que j’en suis encore capable. Parce que j’en ai la force. Parce que malgré le deuil. Malgré les entailles qui déchirent ma vie. Malgré la peine, le désespoir, je suis là. C’est ce que m’a rappelé ce roman. « Ça ne fait pas moins mal avec le temps. Ça fait mal moins souvent. » J’ai rarement lu mots plus justes à propos de tout cela. À propos de la mort. Ce mot tabou, secret, moche. Celui qu’on ne doit pas prononcer alors qu’il jonche nos vies. C’est un roman qui parle aussi d’Elsa. De Vincent. De leurs personnalités, leurs vies, leurs blessures. Et de cette relation qui se tisse peu à peu entre eux. Un livre qui parle d’écriture aussi, de ce sentiment d’imposture qui ronge. Qui parle avec beaucoup de justesse du métier d’écrivain•e, du monde de l’édition, et qu est-ce que j’ai été touchée. Il y a une intimité rare, chaque fois, glissée entre les mots entrelacés de Virginie. Il y a une grande pudeur aussi, une sensibilité à fleur de peau, qui accroche, érafle. Comment ne pas m’y perdre ? Comment ne pas fondre en larmes, encore ? Je n’ai pas encore trouvé de solution. Mais peut-être que je ne souhaite pas en trouver ? Peut-être que je souhaite rester encore et encore bouleversée par les mots de l’autrice qui m’offre chaque année le souffle de vie qu’il me manque par moments ? On m’a dit une chose très juste, à la fin de ma lecture de « Plus grand que le ciel », alors que je faisais mon retour vidéo en larmes. Cette personne m’a dit : « Quand je t'écoute parler de son roman, de tes larmes aussi, j'ai la sensation que tu te trouves. À chaque fois que tu la lis, tu te trouves. » Oui c’est exactement ça. Quand je te lis, Virginie, je me trouve. Chaque fois. Et c’est la plus belle sensation au monde. Merci pour ça. Merci pour ce roman. Merci pour tous les enfants sensibles, différents, tous les ados anxieux et terrifiés par le monde. Merci pour tous ceux qui ne trouvaient par leur place. On la trouve auprès de toi.

Sur un livre de Virginie Grimaldi. Peut-être un peu trop axé sur les sentiments, et le deuil, j’ai trouvé l’histoire prévisible, et je n’ai pas été plus emballée que ça avec cette histoire. Attention, ça reste quand même une belle lecture.

Virginie Grimaldi c’est aussi l’art de raconter le deuil et la douleur en parsemant les sourires, les rires et quelques histoires de flatulences 😉. Si je devais résumer ce livre avec une citation ce serait : dans la vie il n’y a pas de hasard, que des rendez-vous ! Mon rdv annuel avec VG est quant à lui déjà terminé et j’ai déjà hâte d’être à l’année prochaine 😉