Les sacrifiés

On suit Juan qui court après une femme quasi inaccessible, Encarnacion. Beaux portraits d’hommes et de femmes dans l’Espagne des années 30 à 45. On croise des toreros, des écrivains, des résistants (Français et espagnols) connus, c’est intéressant. Mais un peu long ….

On s attache à ce jeune cuisinier espagnol qui côtoie le monde artistique de début 20 ème en Espagne. Il y a qq longueurs mais on comprend la politique intérieure espagnole des années 1930. De voir que les personnages ont existes est assez chouette. Je conseille

Impossible pour moi d'entrer dans cette histoire.... J'ai abandonné au milieu du livre, ce qui n'est pas du tout dans mes habitudes.

J'étais sceptique au début sur l'histoire de ce toréador qui délaisse sa femme et ses enfants pour partir chez sa maîtresse... Encore un livre sur l'adultère... et bien pas du tout. L'amour pour cette maîtresse, cette femme, Encarnaciòn n'est que le point central des années folles en Espagne, de la richesse de la culture sous toutes ses formes et qui s'exprime à travers de prestigieux invités dans l'appartement madrilène. Car les personnages décrits ont existé et l'on croise notamment Federico Garcia Lorca... On s'attache à ce petit cercle d'artistes qui se rêve et se réinvente face au grand public. On s'attache aussi à cette Espagne changeante entre Madrid, l'Andalousie et la République catalane jusqu'à l'arrivée de Franco au pouvoir qui chamboule tout.