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Résumé
« ... maintenant, la seule joie qui lui reste est sa collection, qu'il contemple tous les jours... c'est-à-dire qu'il ne la voit pas vraiment, car il ne voit plus rien, mais cela ne l'empêche pas de sortir ses planches chaque après-midi pour avoir tout au moins le plaisir de les toucher, l'une après l'autre, toujours dans l'ordre où il les a classées et qu'il sait par coeur depuis des décennies... aujourd'hui, plus rien d'autre ne l'intéresse... » Le complément idéal à la collection invisible ne pouvait qu'être visuel : un portfolio de fragments imaginés, d'estampes dispersées, à peine retenues par la mémoire. Dans ce récit merveilleux, avec une sérénité inédite, Stefan Zweig affirme que malgré tout « les collectionneurs sont des gens heureux ».