Santa Mondega

Encore un livre génial de cette série complètement mythique et carrément dingue. L'auteur est vraiment très très bon et la façon d'écrire et de raconter les choses font que l'on passe un super moment. La touche d'humour est mortelle et l'action du pure bonheur, tout est fait pour que l'on le lise du début à la fin sans s'arrêter (mon cas ☺️).

Un coup de coeur, comme pour chaque volet. On retrouve les Dead Hunters dans une situation plus que périlleuse, puisque le diable veut leur mort et il fait appel aux plus grands tueurs mais pas que, pour éliminer le Bourbon kid et ses amis. Du sang, du suspense, du rock, du sex, de l'alcool, de l'amour aussi; tous ces ingrédients pour notre plus grand bonheur. Un vrai, bon moment de lecture assuré.

Comme d'habitude, un pur délice, on pourrait le lire d'un trait. L'humour, l'imagination et puis le Bourbon Kid quoi....

J ai adoré retrouver Sanchez et les Dead Hunter dans une nouvelle aventure. Attention livre à Ne pas mettre entre toutes les mains.... Si vous cherchez un livre sophistiqué passez votre chemin. Si vous voulez passer un moment déconnade N'hésitez pas

C’est confirmé, même les beaufs ont droit à leur propre littérature ! Quand ça ne peut pas tomber plus bas, voilà ce qu’il en est : - Des personnages plus du tout attachants, d’une stupidité et d’une crétinerie pas possible. Mention spéciale à Jasmine qui passe tout le livre à ranger son téléphone dans son vagin et qui a l’air d’insister alors que plus d’une fois, cela a pu représenter un lourd impact sur la problématique des personnages (elle doit s’isoler pour retirer son téléphone, or, les personnages ne doivent jamais se séparer… Causes et conséquences… misère). - Un style narratif pas loin de la rédaction de Enzo, 11 ans en 6e B au collège Victor Hugo. Avec un tel degré, ça essaie encore les effets de style, les comparaisons et les métaphores pour taper dans le « littéraire », alors qu’on se demande pourquoi ça s’efforce de placer de la ponctuation à ce niveau là, tellement l’état du « je-m’en-foutisme » a atteint l’absolu. - Une histoire creuse. Le pitch est d’une simplicité maladive. Le mauvais goût d’une gratuité affligeante, croyant que vomir au visage du lecteur une quantité excessive de pop-culture peut donner une dimension plaisante à l’œuvre. Je pense qu’anonyme souffre du syndrome de Benjamin Button. Le livre sans nom a du être écrit alors qu’il devait avoir une bonne trentaine, à présent, le voilà donc écrivain à l’âge de 11 ans. Plaçant dans ses récits, par le biais de prétextes scénaristiques capilotractés, tout ce qu’il a aimé dans son adolescence et tout ce qu’il aime dans son enfance (l’apparition de Woody de Toy Storie en dit long…). Un enfant jouant avec des figurines dépareillées aurait autant d’imagination. Seul point fort : Le Bourbon Kid. Toujours aussi cool, toujours aussi badass, c’est l’élément qui m’a donné la force de terminer ce dernier tome indigeste.