Bourbon Kid

Un seul mot : une tuerie !

Cet opus est totalement lourdingue et déjanté ! Une standing ovation à Sanchez qui comme toujours n’en rate pas une. À scratch qui voit rouge. Et au Bourbon Kid le seul l’unique qui flingue plus vite que son ombre ! Vous l’aurez compris… J’ai pas arrêté de me marrer et j’ai adoré !

7ème tome de l'incontournable saga et toujours la même intensité, ça part dans tous les sens, Sanchez et son humour inqualifiable, le Bourbon Kid qui tire de tous les côtés, Jasmine qui rend fou Elvis, Flake qui rend fou Sanchez, Beth la schizo qui court toujours après son JD, qui se fait au passage passer pour JC, de nouveaux monstres et une nouvelle apocalypse à affronter, 570 pages d'action ! On se croirait dans un Mad Max revisité au volant d'une Delorean qui a bien du mal à remonter le temps ! A lire !

... comme d'habitude mais toujours aussi bien.

7ème tome du délire jubilatoire d’un auteur anonyme. Cet ovni littéraire continue de me fasciner par « un grand n’importe quoi » qui est tout de même très addictif grâce à des personnages caricaturaux, des situations inimaginables, un style cru et débordant d’humour et un scénario issu d’une imagination sans contrôle. Bref, un roman qui se lit comme on regarde un film de série B, le génie en plus. Les tueurs psychopathes réunis sous le nom de Dead Hunters se croient invincibles. Mais le premier assassin de tous les temps, Caïn veut les éliminer. Pour cela, il bénéficie d’une intelligence hors normes et d’un groupe d’amis peu fréquentables, les 4 cavaliers de l’apocalypse. Son plan prend forme et se met machiavéliquement en œuvre, mais le plus dangereux des Dead hunters reste introuvable, le Bourbon Kid. Toutes les forces maléfiques sont en ordre de bataille, et la fin du monde n’a jamais été aussi proche. Bon, avouons que l’on n’a pas rendez-vous avec un style éblouissant, ni avec une littérature de prix Nobel, ni avec des questions philosophiques profondes. Pourtant, les situations les plus absurdes, les gerbes d’hémoglobine et les répliques cinglantes font que l’on est happé par l’action et finalement les pages se tournent sans que l’on s’en aperçoive. Vivement Que le diable l’emporte !