Les hommes de paille

Je me suis arrêté au bout de 70 pages, j'en peux plus... quand on lit la 4ème on s'attend à un thriller implacable, et... il ne se passe rien ! Les scènes d'action durent 2-3 pages, le reste c'est mon père quand il était vivant il aimait manger du bacon, de la tourte, des huitres, du salami et puis super important l'épicerie à gauche, en tournant sur machin Street, je m'en souviens quand j'étais gamin et bla et bla et bla.... lourd ! ^^

C'est définitivement le mot clé du livre. Ces histoires entremêlées, dont on ne sait pas comment elles sont liées - tout en ayant l'absolue certitude qu'elles le sont - nous invitent à ne plus refermer le livre. Un récit haletant que j'ai pris plaisir à découvrir. Un bémol cependant, la traduction est assez mal faite, ce qui conduit à quelques fautes d'orthographe et quelques tournures de phrases un peu bizarres et difficilement compréhensibles.

Hello, retour sur "Les hommes de paille" de Michael Marshall. Au départ 3 faits divers complétement différents et éloignés en termes de temps et de lieux. Du coup je me suis demandée comment fonctionnait ce livre, et j'ai eu je l'avoue un peu de mal à comprendre. Mais petit à petit, tout se met en place, les liens, les points communs et on se prend dans l'histoire. J'ai quand même un petit regret sur la fin qui m'a semblé être un peu bâclée, trop rapide. Mais dans l'ensemble une belle intrigue, une belle construction et un livre dans lequel on se laisse embarquer. Quatrième de couv.Palmerston, Pennsylvanie, octobre 1991. Deux hommes, vêtus de longs manteaux et armés de fusils semi-automatiques, abattent soixante-huit personnes dans un fast-food. Avant de prendre la fuite, ils laissent ces mots, écrits en lettres de sang : "Les Hommes de Paille". Santa Monica, Californie, onze ans plus tard. Une adolescente, Sarah Becker, est kidnappée. A la même période, un couple trouve la mort en voiture dans le Montana, laissant un message caché dans le fauteuil du père : "Nous ne sommes pas morts". Trois faits divers, trois énigmes dont la clé est enfouie sous une chape de plomb.