La popularité de ce livre sur Gleeph
Résumé
Dieu bénisse l'Amérique Après Putain d'Olivia, hymne aux amours vénéneuses, après Confessions d'un loser, requiem pour un séducteur malheureux, Max Zajack, alter ego de l'auteur, revient sur son enfance d'immigré polonais né à Trenton (New Jersey) du mauvais côté du rêve américain. Un éblouissant roman d'apprentissage, picaresque, tragicomique. « Tous les gestes sacrés - tenir la patène qui renfermait les hosties, agiter l'encensoir, porter le crucifix -, Je les exécutais avec une trique monstrueuse. J'avais remarqué que ma queue dessinait une courbe descendante lorsque je bandais, comme un sabre inversé. Était-ce bon ou mauvais signe ? Normal ou anormal ? Je continuais de me branler partout où je le pouvais, même si je tirais toujours à blanc. Et quand j'étais pas occupé à me faire reluire, j'en rêvais... » « Dieu bénisse l'Amérique est un pavé de vie animale, un quartier de bidoche qu'on s'attend presque à voir bouger, tant le style prend au ventre, triture et rassasie. [...] Il y a quelque chose de Bukowski ou de Miller dans sa prose : de l'oral, du brutal, du vrai. » Laurent Boscq, Rolling Stone