Une si longue lettre

Dans ce livre, nous rentrons vraiment dans l’intimité de l’autrice, nous montrant les conditions de vie des femmes au Sénégal. Le livre permet d’en apprendre plus sur la vie d’une femme au Sénégal. N’oublions pas qu’il est important de se renseigner et de comprendre que les femmes ne sont pas encore pleinement libres dans certains pays et Mariama Bâ est quand même l’une des premières femmes sénégalaises à décrire la place d’une femme dans la société sénégalaise, un grand bonheur à lire.

Un très bon livre que j'ai adoré lire il y a quelques années, qui traite de la place de la femme dans la société africaine en générale et sénégalaise en particulier et que je relierai assurément.

Ce roman relate l'histoire d une Sénégalaise qui adresse a son amie une longue lettre pendant les 40 jours qui suivent la mort de son mari. On y découvre une femme amoureuse mère de 9 enfants qui a été abandonnée lorsque son mari s est marie une,seconde fois. Ce roman parle de polygamie et de la place de la femme dans le foyer selon la position sociale de sa famille. Une femme forte qui a refusée tous les codes et cliches. J ai découvert dans ce roman les aspects sombres de la polygamie. La souffrance des femmes qui vieillissent et se voient relayées a la seconde place pour des 2eme épouses plus jeunes. Histoire touchante surtout que elle a été écrite en 1979...malheureusement rien n a beaucoup changé

Ce livre traite des sujets du milieu de la femme sénégalaise dans les années 70. Malheureusement ces thématiques sont toujours d’actualité : polygamie, patience, femme au foyer… Ces longues lettres aussi nous montrent qu’est ce qu’une vrai amitié. Je recommande à toute femme de le lire, surtout si vous êtes issu de l’Afrique de l’Ouest. Ce sont des sujets auquel font face nos mère au quotidien, si ce n’est pas pour dire actuellement. Je pense qu’il est alors primordial de lire ce genre de roman afin d’apprendre un peu plus le ressenti que ces personnes peuvent ressentir au moment de ces épreuves.

La propagande ! 🗣️ Ai-je encore besoin de le présenter ? Un petit livre si impactant, si bien écrit que tout le monde devrait lire. Il traite de la condition des femmes dans les sociétés ouest-africaines (et plus i guess). Là où le bât blesse, c’est qu’il a été publié en 1979 soit 44 ans en arrière mais les problématiques abordées sont malheureusement toujours d’actualité et c’est certainement pour ça qu’il est un intemporel. Au-delà des thématiques soulevées, à savoir, le foyer polygamique et ses failles (l’abandon de la famille, la pression familiale ou encore la rivalité) ce que je retiens c’est l’amitié entre Ramatoulaye et Aissatou. Ce lien puissant qui se renforce dans les épreuves. Ce livre est une véritable ôde à l’amitié. S’il est l’un de mes livres préférés, c’est aussi parce qu’il est hélas la voix de millions de femmes, courageuses et dignes malgré les épreuves et le chagrin. N.b. : Ma partie préférée c’est la lettre d’Aissatou.