L'Epouvanteur. Vol. 8. Le destin de l'Epouvanteur

Ce tome se lit toujours aussi bien et simplement. L'histoire s'étale un peu afin de faire durer mais tout n'est pas utile. Le vrai souci pour moi est que la magie de ce monde est devenue palpable. Les premiers tomes que j'ai adorés nous donnais un monde de magie visible que par les septièmes fils d'un septième fils. Elle était mystérieuse et inconnue. Nous apprenions en même temps que Tom. Depuis peu Tom n'apprend plus grand chose avec l'épouvanteur et surtout uniquement à survivre. Pour la magie, maintenant c'est le grand tremblement, le feu d'artifice ! Elle nous crie "t'as vu, t'as vu je suis partout et tout le monde sait !" C'est dommage Ce monde de mystère devient un héroïque fantasy classique.

Pauvre Tom, Pauvre Alice, ce tome ne les aura pas ménager. Du début à la fin ils ne font que rencontrer des obstacles, frôle la mort de très près. Maître Gregory est très peu présent dans ce récit mais lorsqu'il se montre il est d'une forte utilité. Il m'a été difficile de laisser les personnages quand mes yeux ne tenaient plus le soir. Durant ce récit nos héros débarquent en Irlande. Nous allons découvrir de nouveaux êtres de l'obscur, qui donne une dynamique géniale au récit. Mention spéciale pour Grimalkin, plus nous la retrouvons dans les tomes plus je l'apprecie. Hâte de retrouver tous ces personnages dans la suite

Bon bon bon... Comme l'a dit tournerlapage dans sa critique, ce huitième tome est un peu confus. Un peu lent, avec un final sorti d'on ne sait où, puis un twist après le final, c'est un peu le bordel. Ce tome n'est pas mauvais, on retrouve toute la troupe dans les terres d'Irlande, prêt au combat face à des mages redoutables. De quoi passer un bon moment devant sa série de livres préférée. Sauf que non. Enfin à moitié. Autant l'intrigue tourne en rond, est redondante par moments. Tom se fait capturer, Tom se libère seul ou avec ses amis, Tom se fait capturer, Tom tombe dans un piège à cause d'une expédition sur un coup de tête, bref. On sent un certain je ne sais quoi qui laisse l'histoire se répéter tout en avançant le plus doucement possible entre ses répétitions. Cependant, la lecture n'en est pas mauvaise pour autant. Certes les points exposés plus haut sont ennuyants. Surtout quand l'auteur fait un quasi sans fautes dans ses six premiers tomes. Mais les choses évoluent tout de même et les personnages ont le droit à leur lot de souffrance. Mention spéciale à Alice, un passage douloureux pour tout le monde, suivi d'un twist pas forcément indispensable. Après, l'issue ravira tout le monde, mais l'acte en premier lieu n'a plus aucun impact, c'est dommage. Grimalkin est plus présente et on se prépare au neuvième tome consacrée à son périple contre les partisans de l'obscur. En effet, le final de ce huitième était pour le moins surprenant, pondu de nulle part, mais surprenant. Et les conséquences sont telles que Grimalkin est obligé de continuer son aventure de son côté. Affaire à suivre donc... Bref, j'ai dû me forcer à continuer pour réussir à terminer ce volume. Autant le début est accrocheur, autant la suite est franchement oubliable tant on ne sait pas où l'histoire se dirige. Le final est intéressant, mais se résout trop facilement par rapport à l'ennemi. On est loin de la Mère Malkin du premier tome... Et ce twist après, est certes prometteur pour la suite, mais on aurait aimé que l'auteur prenne des risques et aille jusqu'au bout de son choix précédent pour bouleverser l'histoire. À suivre avec le neuvième volume, on fait une pause avec Tom et on entre dans la peau de la plus redoutable sorcière des environs...

Ce tome est long à démarrer et il y a quelques longueurs. J’ai trouvé que l’histoire s’éparpillait entre plusieurs sous histoires, pour finir sur un dénouement un peu sorti de nulle part. Cependant, passé le début un peu long, j’ai dévoré la suite ! Ça promet pour le reste des aventures.

J'ai trouvé la première moitié un peu longue et ressemblante aux tomes précédents, mais ce ressenti s'est révélé faux sur la deuxième moitié! Les scènes importantes étaient toutefois un peu rapide