Jour J. Vol. 24. Stupor mundi : 1243, Frédéric II est le dernier espoir de la chrétienté face aux Mongols

Le concept Et si l'Histoire avait pris un cap différent de celui que nous connaissons ? Et si les Russes avaient réussi à marcher sur la Lune avant les Américains ? Et si l'épicentre de la guerre froide s'était trouvé à Paris et non à Berlin ? Et si l'attentat de Dallas avait eu lieu en 1973 et non en 1963 ? Et si l'Allemagne avait gagné la Première Guerre mondiale ? Et si l'imagination avait pris le pouvoir en mai 68 ? Et si les anarchistes avaient renversé le tsar Nicolas II en 1917 ? Tous ces récits, fondés sur des faits historiques et des hypothèses réalistes, nous amènent à découvrir les conséquences de ce jour où tout a basculé : le Jour J. L'album Après que les cavaliers mongols de Gengis Khan ont vaincu la dernière armée chrétienne, l'ultime espoir de l'Europe réside dans l'empereur Frédéric II de Hohenstaufen, surnommé la « Stupeur du monde ». C'est pour lui proposer la paix des Braves que le Khan Ögedeï qui a succédé à Gengis lui envoie trois émissaires. Sur la longue route qui sépare Karakorum et Palerme, bien des dangers guettent nos trois cavaliers. Nombreuses sont les puissances secrètes qui s'opposent aux plans du grand Khan et à une alliance entre chrétiens et Mongols. Le héros Le chevalier Aleksandar de Kestutis. Ancien porte-glaive, ancien chevalier dragon au service du roi de Pologne, ancien mercenaire, voleur et assassin, Aleksandar n'avait qu'une seule qualité : celle d'avoir toute sa vie combattu les Mongols.