Cache-cache bâton

300 pages d’aquarelle, 300 pages d’histoire d’une enfance mais pas que… Emmanuel lepage décortique bien le contexte des années 60, presque comme du journalisme. C’est quelque fois ardue car on ne sait pas où il veut nous emmener. Il met quand même du temps avant de commencer à parler de son enfance, à partir de la 150ème page. Cela reste un magnifique ouvrage et comme il le dit, les lecteurs habitués aux BD de l’auteur seront déroutés.

Dans les années 60, les parents d'Emmanuel L'épave ont participé à la création d'une utopie. Un lieu de vie qui remettrait le lieu social au cœur du quotidien. C'est ici qu'il a grandi, qu'il s'est construit. Entre souvenirs émus, témoignages personnels et réflexions philosophiques, l'auteur sur une période charnière de sa vie.