La popularité de ce livre sur Gleeph
Résumé
« Evans est née pour écrire ce roman, à la fois puissant et délicat, qui prouve qu'elle est touchée par la grâce. » The Independent Lucas, vingt-cinq ans, vit sur une péniche déglinguée à Londres. Mais la péniche, symbole d'aventure, n'a jamais quitté son canal, et Lucas, incapable d'affronter le réel, passe son temps à fumer des joints en écoutant le même disque en boucle. Puis un jour il ouvre l'armoire où sont enfouis les rares souvenirs de ses parents, Antoney et Carla, qu'il n'a jamais connu. Troublé, il découvre que, contrairement à lui, Antoney et Carla sont tout de fougue et de passion. Danseurs pour le Midnight Ballet, une troupe d'avant-garde, ils s'aiment éperdument. Mais si leur art les réunit, il les sépare tout autant. Lumineuse, pleine de grâce, Carla danse par amour. Antoney, lui, est comme possédé. Il cherche à échapper aux lois de la gravité, quête le pas qui lui permettra d'atteindre l'harmonie absolue. Illusion terrible, contre laquelle Carla tisse une toile amoureuse infiniment fragile. Mais bientôt elle attend leur premier enfant, et Antoney s'affole. Il trébuche, sombre, trahit et disparaît. Par-delà les années, Carla et Antoney dessinent un avenir à leur fils. Riche de leur histoire, Lucas est enfin prêt à la larguer les amarres. À propos de Shango : « Ce roman se nourrit de mystère et de descriptions magistrales. La délicatesse et la puissance avec lesquelles Evans évoque les émotions sont frappantes. » The Guardian « Ce livre porte sur la merveilleuse transformation de corps et d'âmes qui défient la gravité, se dépassent et se transfigurent à travers la danse. Difficile de ne pas être conquis ». Financial Times « Evans mêle trois générations avec un sens merveilleux de l'espace et du temps. Ses évocations de la Jamaïque des années 1950, du Notting Hill des années 1960 et du présent emmènent le lecteur dans un éblouissant royaume de l'imaginaire ». The Daily Telegraph « Une pièce d'art, où les phrases s'enroulent comme des rubans de soie autour d'images obsédantes... » The Independent « À propos de 26a : « L'écriture d'Evans insuffle une formidable énergie vitale aux beaux passages mélancoliques comme à ceux, très drôles, qui restituent avec justesse les sensations de l'enfance et de l'adolescence. » Les Inrockuptibles