Songe à la douceur

J’ai adoré ce bouquin, le fait qu’il soit écrit en vers amène vraiment quelque chose à l’histoire. C’est la première fois que je me tente a un livre de ce style et je ne regrette absolument pas. Clémentine Beauvais a trouvé une nouvelle lectrice ! Quant à l’histoire, elle est magnifique, les quelques sauts en arrière se font avec délicatesse et c’est appréciable, trop souvent habitué aux romans qui jongle avec le temps de façon compliqué et toute les trois pages. Ce n’est pas le cas ici ! Eugène et Tatiana sont deux personnages attachants, intéressants et bouleversant ! Et vous, vous l’avez lu? Quel est votre avis? 🌸

Bon avec une critique comme ça, j’annonce direct j’vais en prendre pour mon grade... J’ACCUSE! ces livres qui vont nuire à ma réputation de badboy/sale gosse J’ACCUSE! J’A… Non ! que dalle en fait, parce qu’après m’avoir fait chialer dans Comme des Images, me faire passer pour un fou dans le métro à force de rigoler avec Les Petites Reines, Clémentine Beauvais me frappe en plein coeur, au rouleau compresseur avec Songe à la douceur (eh je jure j’ai même pas fait exprès les rimes et tout tu vois ? et c’est très très bien parce que je vais pouvoir faire une TRANSITION ! Un roman écrit tout en poésie ! Que dis-je c’est un cap une péninsule sur laquelle on irait bien en vacances, pardi et moi je sais pas faire de mises en page comme un dieu parce que ce roman, MESSIEURS DAMES ! Ce roman est rythmé par une typographie qui vous fera bondir, vous ratatinera votre palpitant, vous écrabouillera vos sentiments pour mieux vous les faire revivre, activons, activez ! La mécanique du coeur, soufflée par une bande originale que j’aurai pu emprunter à ma petite soeur (se moquer d’abord, chialer en secret ensuite). Cessons là ces enfantillages et rentrons dans le rouge amoureux vif éclair du sujet. On réécrit Onéguine les gars ! (Eugène de son prénom). Je déconne on réécrit pas, on s’inspire, faut que ça transpire et ça le fait pour Tatiana qui va pomper son oxEugène (je m’arrête plus) et le notre par la même occasion... On retient notre souffle sur cette histoire d’amour inachevée, magnifique, éreintente, surréaliste, jemanquedadjectifsbordel. On a beau pas les aimer ces histoires dans la vie en vrai, celle là on lui colle un 23/20 tellement c’est bien ficelé, tellement tout colle colle-colle parfaitement. Le plaisir de voir des phrases alambiquées, dignes des plus grands chefs d’oeuvres de la littérature russe du 19e siècle (que j’en ai lu à peu près deux dans ma vie alors j’ai le droit de comparer dac?), des phrases pleines de poésie, j’ai déjà dit (mais qu’on éclatera de rire à en voir une faire la rime avec sodomie). De parcourir Paris pendant la vie d’adulte, et de retrouver les excès d’émotions sur fond d’acné d’adolescents. Je m’incline. Et c’est là que je perds en crédibilité. Car de l’amour en vrai j’en aurai jamais assez pour en donner, mais dans les livres, c’est ce qui nous fait rêver. Aux larmes ! (d’amour) citoyens

J'ai adoré ce livre ! Je l'ai dévoré, le vocabulaire employé était très bien choisie, il changeait selon les situations et cela m'a beaucoup plu. De surcroît, c'est un livre poétique qui m'a étonné de part sa simplicité,en effet, il est simple à comprendre et c'était donc très agréable à lire. Je le conseille fortement

La plume de l’auteur est juste incroyable ! Il m’a été très facile de me plonger dans l’histoire de Tatiana et Eugène. Ce livre nous parle d’une histoire d’amour retrouvé 10 ans plus tard. Dans ce livre, nous suivrons les retrouvailles de ces deux personnages 10 ans plus tard. Une romance très prenante et passionnante qui donne envie d’être vécu.

J'ai débuté ce roman en me disant mais qu'est-ce que c'est que cette mise en page, puis j'ai eu peur d'une histoire d'amour mièvre. Mais non, j'ai bien aimé l'écriture fraîche et originale de Clémentine Beauvais, ses sauts dans le temps, sa façon de s'adresser directement aux lecteurs, pour nous relater l'histoire de Tatiana et d'Eugène. Après lecture, j'ai découvert que l'histoire s'inspirait du roman Eugène Onéguine, mais je saurais dire ce qui a été repris de ce classique de la littérature russe.