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33 avis sur ce livre
- Marionpao- 01/01/2023Cynique !J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre de Nothomb et pourtant je ne suis pas sa plus grande fan. Une joute verbale s'installe entre un vieil écrivain à la mort annoncée, personnage aigri, infâme même et une poignée de journalistes qui, tour à tour, sortiront vidés, brisés de cet entretien, jusqu'à... On aime ou on n'aime pas Amélie Nothomb, mais on ne peut que lui reconnaître un talent indéniable pour manier et jouer avec les mots...100
- HatakiEtMoi- 17/05/2020Quelle jubilation !Mon premier Nothomb ! Quelle jubilation ! C’est brillant, hilarant, pervers et raffiné. Vite, un autre ! Si comme moi vous avez réussi à passer plusieurs décennies de lecture sans lire un Nothomb, foncez, vous glousserez de ravissement. 🌸32
- zolaxmodiano- 16/05/2023Leçon de grammaire.🚨Spoiler 🚨 A l’instar d’une bonne autrice, Nothomb nous criait déjà le dénouement de son premier roman. Page 115 : « Écrivain, assassin : deux aspects d’un même métier, deux conjugaisons d’un même verbe […] un verbe trivial et commun comme accoucher, interviewer ». Page 133 : « les filles […] quittent la vie […] pour entamer la pénible et ridicule conjugaison d’un verbe trivial et immonde […] quelque chose comme reproduire, au sens bien sale du terme - ovuler ». L’assassin ou l’écrivain conjugue le verbe accoucher, interviewer. La femme conjugue le verbe ovuler. Elle, ovule et interviewe. Elle n’écrit pas. Elle est donc assassin. Enfin page 163, avant le dénouement, avant l’extase Prétextât s’exclamait « L’assassin, c’est vous ». Revenons page 115. Prétextât Tach disait aussi : « Écrivain, assassin : deux aspect d’un même métier, deux conjugaisons d’un même verbe […] Le verbe le plus rare et le plus difficile : le verbe aimer. N’est-il pas amusant que nos grammaires scolaires aient choisi pour paradigme le verbe dont le sens est le plus incompréhensible ? » Et page 179 : « Saviez vous que le verbe aimer est le plus défectif des verbes ? […] N’ai-je pas démontré que, quand deux personnes s’aiment, l’une des deux devait disparaître pour rétablir le singulier ? - Vous n’allez pas me dire que vous avez tué Léopoldine pour respecter votre idéal grammatical ? - La cause vous paraît-elle si futile ? Connaissez-vous la nécessité plus impérieuse que la conjugaison ? Apprenez, petit avatar, que si la conjugaison n’existait pas, nous n’aurions même pas conscience d’être des individus distincts, et cette sublime conversation serait impossible ». La journaliste devenue assassin se doit de rétablir le singulier. Le Je qui était un Nous doit redevenir un Je.30
- demain.soir- 28/06/2021En un motÉblouissant30
- fc841891- 25/12/2022Coup de cœurL’écriture, et les dernières pages qui mènent à un dénouement inattendu pfiou20
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