La consolante

J’ai adoré lire ce roman, beaucoup d’émotion, des larmes du rire, bref du bonheur au quotidien et un retour aux vraies valeurs. C’est la voie ou veut nous emmener Me Gavalda.

J'ai été curieuse de voir les commentaires d'autrui et j'ai donc ouvert Gleeph. J'ai été marquée car beaucoup trouve la première partie longue... Je ne lis pas ce genre de livre. C'est une amie qui me l'a offert car elle aime cette autrice et souhaitait me la faire partager. Je n'aime pas spécialement le livre très tranche de vie : ça manque d'action, d'aventure. J'ai abordé cette histoire ainsi. J'étais peu intéressée au départ mais j'ai persévéré, petit bout par petit bout... et le récit s'est installé dans mon esprit. Les personnages. La vie souffre souffreteuse de Charles. L'écriture qui retranscrit si bien cette vie : hachée, désincarnée, trop lente et trop rapide. Ce soir, alors que j'ai découvert fébrilement fin d'Anouk, j'avais envie de pleurer. Pas juste comme pour une belle fin. Comme si la dimension intime du drame me touchait profondément. Je revoyais les souvenirs lus plus tôt, leur première rencontre, les clefs d'Alexis, Nounou... J'ai trouvé ces deux premières parties très vraies. Crevante de vie. La suite soit crevante de renaissance. Le personnage principal et Kate arrive à retrouver le bonheur. J'ai beaucoup aimé le personnage de Mathilde qui est rafraîchissant et j'ai adoré sa personnalité !

Un livre qui fait du bien, de belles rencontres, un retour aux valeurs simples et fondamentales alors que toute une vie est remise en question… plus j’ai avancé dans ma lecture et plus j’ai été transportée.un très bon moment.

Une écriture fine qui nous touche directement. Un retour aux sources qui fait du bien.

J'ai trouvé la 1ère partie longue et brouillonne mais à partir des retrouvailles avec Alexis et la découverte de l'univers de Kate et sa tribu, j'ai fondue littéralement. Moi aussi je veux vivre là-bas. Conclusion, je valide totalement le fond, le message véhiculé et surtout la narration par le carnet à dessins mais un gros bémol sur la forme de la 1ère partie.