La femme du Ve

La découverte de ce nouvel ouvrage de Douglas Kennedy. La femme du Vème. J'ai été happée par cette histoire abracadabrantesque. Ce Harry Ricks n'a pas de chance. Il quitte les États Unis où il est mêlé à un scandale suite au suicide d'une étudiante de son Université. Il s'installe à Paris Rie du Paradis dans une chambre de bonne délabrée et infecte. Il est entouré de malfrats et de trafiquants. Il souhaite désormais écrire un roman. Il trouve alors un travail de veilleur de nuit plutôt louche. Il va être mêlé à des mauvaises histoires sans fin jusqu'au jour où il rencontre une belle femme hongroise, Margit qui va le guider dans sa vie et le sortir de ses embûches. Harry va découvrir un très mystérieux personnage en cette Margit. Est elle son ange gardien ?

L'histoire d'un américain sans le sous, sans emploi, divorcé et perdu dans Paris qui ne fait que déambuler et rencontre une femme particulière et mystérieuse qui va l'entraîner dans une aventure inhabituelle et romanesque. Oui bon, alors sans plus. Je l'ai fini mais même la fin bof bof !😕

Je découvre Douglas Kennedy avec ce roman. L'auteur dénonce les marchands de sommeil, le travail clandestin...Beaucoup de clichés sur Paris, sur les français et même sur les américains. Peu de crédibilité sur les événements qui s'enchaînent et s'acharnent sur le héros. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages qui sont abordés de façon très superficielle. Une touche de fantastique est venu pimpé le roman qui rend sa lecture rapide et agréable. Mais le style est assez plat, sans surprise. Ce 1er essai ne m'a pas donné envie de continuer avec cet auteur. Dommage.

J’ai attendu que l’histoire deviennent intéressante des pages durant. Au final, rien de transcendant. Une intrigue plus ou moins banale, des rebondissements prévisibles… Le seul plus ? Un style d’écriture relativement agréable. Première lecture de cet auteur et assez déçue du résultat.

C’est le deuxième livre de Douglas Kennedy que j’essaie de lire et que je n’arrive pas à finir. Je n’accroche pas du tout.