Que le diable l'emporte

J’ai moins accroché que sur d’autres mais le final est tellement scotchant que j’en ai oublié ma légère déception!

Comme à chaque opus de la série du Bourbon Kid, il est très difficile de classer le livre que l’on vient de refermer. Entre horreur, thriller, fantasy et burlesque, je tourne finalement les pages, avec une certaine addiction, de ces histoires sans queues ni têtes. On y côtoie les personnages les plus délirants du King à Dracula, du tenancier mexicain crade au psycho killer, de la top model délurée aux nonnes psychotiques. Pourtant le principe fonctionne toujours aussi bien, dans un univers à la Tarentino et des dialogues crus. Le Bourbon Kid tente de se faire oublier du diable, en lui ayant fait croire à sa mort et profiter du reste de sa vie avec sa jeune épouse. Pourtant, il est très difficile d’échapper au diable, à ses habitudes de tueur et surtout à son destin. Malgré ses réticences, il trouve une retraite dans un monastère pratiquement abandonné, mais son arrivée va réveiller d’anciens fantômes et bouleverser l’ensemble de ses plans. C’est avec plaisir que l’on retrouve l’ensemble des protagonistes des premiers tomes, toujours aussi déjantés. Malgré tout, c’est parfois un peu lourd, surtout pour le personnage de Sanchez, dont les caractéristiques sont de plus en plus forcées (il faut aimer le scato). De toute façon, il faut rentrer dans le trip de l’auteur et se laisser porter par le scénario sans se poser plus de questions, puisqu’il n’y d’ailleurs aucunes réponses.

Le bourbon kid ça se lit sans faim roulé sous les aisselles ! 🤣🤣 On est tous d’accord que c’est vulgaire trash déjanté que ça part dans tous les sens… mais on en redemande… J’ai passé un bon moment seul bémol le côté scato qui est trop poussé à mon goût. Le pipi caca au bout d’un moment… 😏

Découverte des aventures du Bourbon Kid via ce tome et j'ai été très surprise de l'imagination de l'auteur ! Humour massacrant. J'ai adoré

Je pense que c'est le dernier que je lis de la série.... Il n'y a plus guère d'histoire, que du vulgaire et du degueu.....