(LU EN VO) La réputation de H. G. Wells n'est plus à refaire et si je l'avais découvert avec quelques extraits de The Time Machine au lycée, ce n'est qu'une dizaine d'années plus tard que je lis un de ses textes en entier avec The Invisible Man.
Honnêtement, j'ai trouvé l'histoire longue et d'une lenteur à pleurer. Les 154 pages sont interminables. La plume, typique de l'époque, je ne peux rien y redire, si ce n'est que de rester fidèle à l'accent type d'une région, c'est cool, par contre à déchiffrer quand c'est pas ta langue natale, c'est compliquée. Hors dialogue cependant, la prose est sympathique, encore que, un peu pompeuse, mais encore une fois, il faute le remettre aussi dans son contexte, donc je resterais indulgente.
Quant à l'histoire ? Peut-être qu'à l'époque, c'était un best-seller, mais aujourd'hui ça n'a que peu d'intérêt.
Bonus point pour l'édition Penguin qui est jolie, c'est déjà ça.
Pas convaincue
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