Terrifiant et bouleversant. Terrassé par l’abdication du citoyen Roubachov.
Evidemment, la force du roman réside d’abord dans l’alerte brutale lancée par Koestler à la face du monde, d’un système et d’une idéologie gangrénée au dernier degré. Mais au-delà de cette portée politique, le livre évoque surtout la destruction d’un homme, la destruction d’idéaux et de certitudes, la destruction d’une volonté, broyés par la machine.
Le zéro et l'infini
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Le zéro et l'infini
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