Fait d’été…

En trame de fond, un fait divers, une histoire d’humiliation et de bêtise, ou comment l’arrogance du touriste peut bouleverser l’autochtone et son paysage. Il est question de ses racines, de la place qu’elles occupent dans la construction de l’identité de chacun, de comment elles nous lient et nous enlacent et de comment s’en libérer… Les couper d’un coup de couteau, partir et revenir plus tard, accepter d’être finalement ce que nous sommes… L’auteur parle de son île (la corse), de ce qu’elle est devenue, de l’altérité dans l’altération du littoral et des souvenirs. Une fable noire, teintée d’ironie, où le regret et la tendresse viennent, au fil des histoires, interroger la filiation et l’héritage familial.