En tout cas les histoires racontées sont celles de femmes , à la fois résignées mais tentant comme elles peuvent de sortir d’une forme de déterminisme dans la société japonaise. Le rapport qu’elles entretiennent avec l’argent, la richesse est interessant mais parfois me semble réducteur. Est-ce uniquement par ce biais que les femmes gagneraient en autonomie et en liberté ? Oui bien sûr mais l’auteur parle, à mon goût, beaucoup trop des problématiques liés à l’argent, et il me semble que cela peut donner une vision réductrice de la place que doit avoir la femme dans la société qu’elle soit japonaise ou dans le monde.
Est-ce un livre « féministe »?
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