A Wuhan, il y a des chauves-souris malades et des laboratoires mystérieux. Il y a aussi la petite boutique de cirage de chaussures de Mijie. le commerce prospère, les clients se succèdent et les employées s'activent. L'une de celles-ci se nomme Fengchun. Elle n'a pas vraiment besoin de travailler mais elle est là pour faire bisquer un mari qui la néglige. Entre Mijie et Fengchun, l'amitié naît doucement, compliquée par la différence d'âge, par la relation patronne-employée et par les strictes conventions de la société chinoise.
Je sais pas si c'est moi, la traduction ou les codes d'une littérature que je maitrise peu mais j'ai peiné à accrocher. L'autrice offre une plongée intéressante dans la métropole et dans la réalité de la condition de la femme en Chine mais le rythme hoquète souvent et les personnages se comportent de manière à la fois naïve et illogique. La fin a toutefois rattrapé ma déception, je suis donc contente de l'avoir terminé malgré mes réticences!
Chine urbaine et féminité
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