Je n'aurais pas dû. J'avais tant aimé la nuit des temps pourtant. Je ne le relirai d'ailleurs pas car une rose au paradis m'a tout de même appris une chose: nous évoluons et c'est pour le mieux.
J'ai mesuré le chemin parcouru en étant confrontée aux relents masculinistes des descriptions et des relations entre les personnages. Dans une rose au paradis, la femme est souvent nue, juvénile, soumise, mystérieuse tout en étant pragmatique et hystérique évidemment. L'obsession du narrateur pour les seins est fatigante à défaut d'être réaliste. Si j'avais lu ce récit de science fiction il y a quelques années, je n'aurais pas su déceler tout ce qui me gêne, et me révolte aussi parfois, aujourd'hui. De là à annuler Barjavel... Non il a compté. Mais ce roman est daté.
Daté
0aime∙0commentaire
Votre commentaire...
Une rose au paradis
René Barjavel
Romans francophones
Chroniques martiennes
Ray Bradbury
L'Ile
Robert Merle
L'arrache-coeur
Boris Vian
Retour au meilleur des mondes
Aldous Huxley
Werther, ce soir...
Patrick Cauvin
Nos amis les humains : théâtre
Bernard Werber
Dangereuse Callisto
Isaac Asimov
Le syndrome du scaphandrier
Serge Brussolo
Les derniers hommes. Vol. 1. Le peuple de l'eau
Pierre Bordage
Celui qui attend : et autres nouvelles
Ray Bradbury