Comme toujours, Delphine Horvilleur nous donne matière à réfléchir, à nous remettre en question.
C’est donc à travers une histoire réelle et imaginaire de Romain Gary que le sujet de l’identité est abordé ! Une affaire sensible. On prend progressivement conscience de la manière dont elle est vécue, ressentie, exprimée et susceptible de conduire jusqu’à des ravages. Un croisement de ce livre avec « Les identités meurtrières » de Amin Maalouf pourrait être particulièrement fécond.
Pour finir, il y a beaucoup d’humour et de traits d’esprit dans ces lignes. Cela rend la lecture d’autant plus agréable.
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Il n'y a pas de Ajar : monologue contre l'identité
Stimulant
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Il n'y a pas de Ajar : monologue contre l'identité
Delphine Horvilleur
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