Et moi qui, petit, trouvait les discours des curés interminables et que pour dire la même chose ils auraient été bien inspirés de raccourcir leur prêches. Je n’avais pas encore entendu de rabbin.
Oui, car malgré la petite taille de l’ouvrage, Delphine Horvilleur se perd en circonvolutions – souvent très drôles et fort bien écrites – pour arriver à ses fins.
Comme Le siècle des égarés que je lisais juste avant, Il n’y a pas de Ajar tente de lutter contre les "identités".
Hélas, toutes ces digressions, traits d’humour, métaphores et images m’ont égaré, noyé dans un propos qui perdait en lisibilité. Et d’ailleurs, l’identité, c’est quoi ?
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Il n'y a pas de Ajar : monologue contre l'identité
Je me suis perdu
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Il n'y a pas de Ajar : monologue contre l'identité
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