Constance Debré. Enfant parvenu, car de parents illustres et insérés dans la scène politique et culturelle, dans ce livre, elle semble entrer en guerre contre les privilèges qui lui sont offerts. Sous une forme de leçon moraliste qui m’a déplu. Beaucoup.
Cette rébellion contre tout un système capitaliste, fondé sur des logiques sociales que l’on connaît, elle dresse un portrait au vitriol de sa condition et de ses parents. Sans toutefois jamais donner de pistes de réflexion sur d’éventuelles solutions. Non, elle crie seulement.
Malheureusement, ce livre ne me convainc pas, ne m’emporte pas aux côtés de l’autrice dont j’ai bien du mal à cerner les volontés. Il me semble que ce livre, c’est plutôt le produit de son défoulement, un succédané des multiples haines qu’elle a embrasé. Sans doute à raison, mais après lecture, j’avais presque l’impression de m’être mise dans une situation dans laquelle je n’avais rien à faire. Et dont je voulais à tout prix m’extirper…
Une leçon moraliste incohérente
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Nom
Constance Debré
Romans
Vers la violence
Blandine Rinkel
Hommes
Emmanuelle Richard
Ils vont tuer vos fils
Guillaume Perilhou
Western
Maria Pourchet
Tumeur ou tutu
Léna Ghar
Aliène
Phoebe Hadjimarkos-Clarke
Les manquants
Marie-Eve Lacasse
GAV
Marin Fouqué
Les enfants endormis
Anthony Passeron
Pauvre folle
Chloé Delaume