Faut-il aller au bout de ses combats pour qu’ils se gagnent vraiment sur la durée, quitte à sacrifier ceux pour qui on les mène ? Ou bien savoir un peu céder, et profiter des acquis, importants mais à court terme, qu’ils apportent à la communauté ? Et dans cet entre deux ou se place notre part de rage, d’humanité, de compassion, dans les choix qu’on est amené à faire ? Du grand Steinbeck.
Plus actuel que jamais
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