J'ai adoré découvrir Marguerite Duras avec Le Ravissement, mais je ne l'ai pas retrouvé dans le Vice-Consul. Son style était là, mais beaucoup plus confus, étiré. On sent un terrain d'expérimentation, sur l'idée de communication. On sent une dimension sexualisante chez Anne-Marie Stretter, une dimension femme fatale très intéressante. Mais je n'ai pas du tout accroché à la narration alors même qu'il était identique dans Le Ravissement.
Confusion
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