Il n'y a décidément que ce mot qui me vienne pour parler de ce livre, ce conte, ce poème en quelque sorte.
Héros déchiré entre orgueil, vanité, nullité, humilité.
Personnages déchirés de violence et de bienveillance, déchirés d'amour donné sans retour d'aucune forme.
Société déchirée de ses membres servants et servis.
Seul ce mot demeure, constant, et me plonge dans une puissante mélancolie devant ce tragique, inhérent au déchirement, qui le précède d'un instant seulement.
Le déchirement
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