Butterfly

Dans son roman autobiographique, Yusra Mardini nous raconte sa jeunesse heureuse en Syrie puis son obligation de fuir son pays. C'est le récit d'une adolescente, qui mûrit à travers les épreuves, d'une nageuse dont le rêve est de participer aux jeux olympiques. À lire pour se rappeler que pendant que nous nous plaignons dans nos lits, d'autres franchissent des frontières pour trouver un endroit où ils pourront vivre sans craindre les tirs et les bombes.

Franchement j’ai grave aimé. Belle histoire mais la fin j’ai eu du mal. Bon après comme c’est une biographie (auto) bas forcément y’a pas trop de romance, de folies et tout quoi et c’est pas du tout mon genre de lecture sans toutes ces caractéristiques… 😁

Un super livre sur un sujet important

Le récit étant biographique, je le trouve encore mieux. Il ralie le sport (natation: les efforts, les exploits et compétitions), avec le chamboulement de la guerre. J'aime beaucoup ce livre car il est beau, fort et intelligent. Je conseille!!!!

@yusramardini nous livre son témoignage de son voyage afin de quitter la Syrie en guerre et de se rendre en Europe pour continuer à nager et accomplir son rêve participer aux JO ! Et quel récit. Cette femme est un exemple de force, de courage, de détermination et d'espoir aussi ! Une voix, un exemple qui représente tant de personnes. Je suis admirative de son parcours, du chemin accompli tout en gardant le sourire : " Rire me donne du courage et de la force, me donne l'impression que, quelle que soit la suite des événements, je serai de taille à l'affronter". J'avais découvert cette histoire via le film paru sur netflix et j'ai donc voulu lire l'ouvrage correspondant et ce fût une vraie claque. Je le conseille vraiment. J'ai du mal à me dire que tout cela soit réelle et arrive de plus en plus. J'ai vraiment été touché par cette histoire et remercie Yusra de nous la partager, de nous montrer qu'il faut toujours croire à ses rêves et ne rien lâcher, Sven nous démontre que l'humain peut être gentil et généreux. ❤️ "J'imagine qu'on ne peut pas connaître sa force tant qu'on a pas eu à faire face à la tragédie." "Un court instant je me demande ce qui se passerait si je leur disais la vérité. Si je leur disais ce que ça fait d'être réduite à un simple mot, si j'essayais de leur expliquer ce qu'on peut ressentir quand on est assignée à ce statut. Réfugiée. Une coquille vide, à peine humaine. Sans argent, sans maison, sans passé, sans histoire, sans personnalité, sans ambition, sans issue, sans passion. Notre passé, notre présent, notre avenir : effacés, remplacés par ce simple mot dévastateur."