La légende de Sleepy Hollow

Je n'ai pas pu rentrer dans ce livre

Cette courte lecture fut une totale déception, moi, qui pensait apprendre un peu plus sur le cavalier sans tête ce fut pas le cas, j'ai rien appris 😕 peut être était il un peu trop condensé pour en apprendre un peu plus ou c'est moi je me faisais une toute autre idée de cette histoire d'où ma déception 🤔 je ne sais pas à vrai dire 🗣 ,en tout cas j'ai même à plusieurs reprise voulue abandonné cette lecture, et dire j'ai mis 2 jours à le lire 📖 ... Une chose est sûre il ne restera pas dans mémoire hélas 🙄 Ayant toujours envie de savoir un peu plus sur cette légende/histoire du cavalier sans tête je vais cherché et j'espère trouvé 😊

Beaucoup trop de temps passée à suivre monsieur l’instituteur plutôt qu’à apprendre la légende de sleepy hollow, on ne fait qu’entendre parler, à peine deux fois du cavalier sans tête, dans tout le récit, pour qu’il n’apparaissent que lors de deux pages à la fin du récit. On n’apprend rien sur le cavalier sans têtes en somme, on ne fait que suivre un personnage, l’instituteur, très peu attachant et surtout très peu intéressant.. Heureusement que c’est un récit court et qu’il ne fait que 71 pages. Ça reste intéressant de l’avoir lu, pour la culture, maintenant je pense que je préférerais les adaptations cinématographiques.

Évidemment, nous sommes loin des adaptations cinématographiques qui relatent la légende du cavalier sans tête. Cependant, l’ambiance superbement décrite par l’auteur laisse planer, jusqu’à la fin, un certain suspens ; tout comme le fait, d’ailleurs, que nous ignorons ce qui s’est réellement passé pour Ichabod Crane. De ce fait, l’allure inachevée que peut avoir l’ouvrage ne me déplaît pas. Ce livre me fait vraiment penser aux légendes qu’on se raconte entre amis, ou frères et sœurs, quand la nuit tombe ou que Halloween approche, dans le seul but d’en faire des cauchemars toute la nuit.

La légende du cavalier sans tête tient en environ 70 pages, c’est une nouvelle succincte qui nous présente Ichabod Crane, son quotidien d’instituteur itinérant. La lecture est aisée et rapide, mais je comprends que la plupart des commentaires fassent part de leur déception. Mais on peut faire un parallèle avec d’autres oeuvres tirées de Philip K Dick : The Truman Show raconte l’histoire d’un homme qui doit sans cesse trouver la solution à un problème qui paraît chaque jour dans le journal, Total Recall est une simple nouvelle ! Et que dire de Blade Runner, que Ridley Scott n’avait même pas lu ? Loin d’être déçu, je suis au contraire admiratif de voir ce que Burton a pu extraire d’un récit si court ! Il a réussi dans son film à reprendre l’atmosphère propre à la nouvelle et à l’adapter dans un scénario saisissant, inventant justement toute la légende du cavalier sans tête autour de ces quelques pages, tout en intégrant un élément essentiel du livre dans l’intrigue. Pour moi il ne faut pas chercher la comparaison, mais simplement se laisser porter par ce récit court et fluide qui au contraire nous rappelle le film, et donne envie de le revoir.