Jack et le haricot magique

⚠️ TW : gore, horreur, sexe, viol, meurtre, torture porn, violence envers les femmes. 💻 Avis : Je termine mon 27ème conte interdit et ce dernier n'est ni bon ni mauvais. L'auteur a réussi à très bien reprendre les éléments du conte d'origine en les modernisant. Ainsi, nous avons Jack, qui se fait voler son "Haricot Magique" qui n'est autre qu'un logiciel informatique créé par lui même afin de récolter beaucoup d'argent sur le dos des assureurs et des entreprises pharmaceutiques. Mais tous ne se passe pas comme prévu et le Géant passe un contrat pour lui voler ce logiciel et ainsi obtenir "la poule aux œufs d'or". Nous assistons donc à la vengeance de Jack tout au long du roman. C'était donc très appréciable de retrouver les éléments du conte d'origine mais l'histoire est basée sur énormément de notions informatiques qui sont assez poussées (programmation, codage) mais aussi en finances. Par conséquent, je n'étais pas le public visé. Je n'ais sûrement pas sû saisir certaines subtilités de cet univers. Malgré tout, il m'a été facile de continuer ma lecture voulant connaître la finalité de l'histoire. La plume de l'auteur est fluide et nous pousse à continuer. En revanche, je n'ai pu m'attacher à aucun personnage. Je trouve cela assez dommage. Rien n'est vraiment fait pour que l'on s'attache. J'ai été étonné de voir que l'auteur a donné son nom au méchant de cet histoire. Ce que je retiens malgré tout c'est que j'ai eu énormément de pitié pour Nicky, la femme du Géant Verdier qui subit les pires atrocités de la part de son mari. Cela m'a brisé le cœur car certaines scènes sont dures et humiliantes à travers du "torture porn".

Lu très vite avec une histoire très touchante.

Ce n’est pas mon préféré de cette série, l’histoire est assez longue au démarrage a mon goût… il est par contre un peu moins trash que les autres, pour ceux à qui le trash ne plait pas il est plus soft Comme pour les autres version je trouve dommage qu’il est autant d’expression Québécoise , ça peut casser le rythme de la lecture

C'est le conte le plus soft que j'ai lu jusqu'à présent. Il s'agit principalement d'une histoire de vengeance sur fond de programmation informatique. Je suis mitigée; je n'ai pas spécialement aimé ni détesté. Il se lit, la trame est intéressante mais il souffre quand même de pas mal de longueurs qui font que j'ai fini par survoler pas mal de passages.

Me voila moyennement convaincue. J’ai lu ce conte interdit en une soirée mais je reste vraiment mitigée. D’abord, j’ai eu beaucoup de mal à accrocher à l’histoire avec tout le vocabulaire informatique. L’histoire m’a rapidement ennuyé car je ne comprenais pas ce que l’auteur voulait nous faire comprendre. Puis, quand l’histoire a commencé à s’installer, j’ai rapidement compris le lien entre le conte interdit et le vrai conte. J’ai trouvé ça bien joué: le haricot magique, le géant et sa femme (d’ailleurs j’adore le clin d’œil que l’auteur se fait à lui même), la poule aux œufs d’or… on y retrouve bien le conte original. Beaucoup de violence, de tortures, peu de sexe mais tant mieux, je n’aime pas les scènes de sexes qui n’ont pas d’intérêt à l’histoire. Ce roman se lit quand même très rapidement. Je pourrais presque le relire pour comprendre le jargon du début, mais maintenant que je connais la fin, je n’ai pas envie de me replonger dans les scènes qui restent très violentes