La part des ténèbres

C'est mon premier Stephen King. J'avoue que j'ai mit longtemps à me lancer à en lire un pour savoir si j'allais aimer ou non et j'ai été agréablement surprise. Le côté macabre et sanglant m'a beaucoup plu. J'adore l'écriture de l'auteur qui arrive à nous faire tenir en haleine jusqu'au bout. Le personnage principal, le romancier se retrouve persécuté par son patronyme et en suit une persécution et des menaces sans fin jusqu'à la confrontation des 2 personnages...

J'ai trouver l'histoire très accrocheuse, le début nous mais directement dans le bain de l'étrange et le malsain. Thad et Stark son vraiment des personnage dont on prend du plaisirs à connaître ! J'ai vraiment aimer les rebondissements, et la fin ne ma pas déçu !

le thème de l'écrivain assassinant son pseudonyme n'est pas inconnu pour le grand Stephen King puisque lui aussi à usé d'un nom de plume, Richard Bachman. L'histoire est bien menée, dans le pur esprit de King, même si ce livre souffre de quelques longueurs qui n'est pas une exception dans son oeuvre.

Nous sommes très vite plonger dans l'histoire avec des scènes gore et très descriptif. Je trouver la première et la dernière partie du livre super a lire avec des rebondissements , Mais le milieu du livre des longueurs interminable avec des descriptions a n'en plus finir je me suis demandée a plusieurs reprise si j aller pas arrêter tellement il devenait soporifique a lire. Je suis tout de même contente de lavoir fini , le dénouement est intéressant.

Pas de gros problème avec cet affrontement entre patronyme et pseudonyme : les meurtres sont assez effrayants à travers le côté Terminator surdéterminé, le couple Beaumont est extrêmement bien caractérisé d'où une sympathie immédiate pour eux, Pangborn est un personnage fétiche dont King a le secret, Stark fascine, inquiète et terrifie... J'aurais deux bémols à émettre. D'abord l'histoire me paraît manquer d'envergure et cela tient sans doute à ce personnage de Stark : j'aurais préféré une vraie iconisation de ce monstre pour en faire la Nemesis de l'écrivain, au lieu d'un être qui faiblit d'heure en heure. Le récit méritait davantage de scènes d'anthologie, d'affrontements verbaux, physiques ou même psychologiques... Ensuite la fin s'étire trop pour me passionner, d'autant qu'elle prend pour point de départ une authentique facilité d'écriture (Thad laisse sa famille derrière pour des raisons qui ne sont plus crédibles à ce stade de l'histoire). En aucun cas un mauvais roman, La part des ténèbres fait le taf mais vous sentez bien que je n'en fais pas vraiment l'éloge non plus.