La ligne verte

L'histoire vous tiendra en haleine jusqu'à la fin. Il s'appelle John Coffey, son nom se prononce Coffee mais ne s'écrit pas pareil. Un géant, qui se retrouve emprisonné dans le quartier des condamné à mort. Les personnages sont savamment dépeint et mis en relation. Pour ma part, j'ai rit et j'ai pleuré aussi. Vous ne regarderez plus jamais les souris de la même manière. Bonne lecture.

Un roman angoissant, envoûtant et revigorant... un roman noir. L'intrigue reste du début à la fin en tête. Stephen King arrive à décupler nos émotions à travers le foisonnement de personnages tout aussi intéressants les uns que les autres. Que l'on soit du côté prisonnier ou gardien, nous développons de la haine ou de l'empathie voire une véritable sympathie pour eux. L'auteur pose de multiples questions notamment sur la peine de mort mais également sur le racisme, la justice américaine défaillante à cette époque-là (mise en parallèle avec l'époque actuelle d'ailleurs) et sur la notion de miracles... ceux-ci incarnés par un géant noir, simple d'esprit mais qui semble angélique par nature. L'immortalité donnée aux innocents... quand la lumière jaillit des ténèbres.

Livre merveilleux merveilleusement adapté au cinéma.

Une histoire archi connue mais pleine d'émotions. Des personnages incroyables. On dévore rapidement ce pavé qui se passe pourtant dans un univers carcéral qu'on pourrait imaginer sans histoire. Et pourtant....

La ligne verte pour moi c’était un film, que j’ai dû voir une dizaine de fois. Puis, j’ai découvert le livre. Il m’a tellement passionné que je l’ai lu en une fois ! A chaque question que je me posais, King y répondait dans le chapitre qui suivait. Un accord parfait ! Oui, parce que le livre offre davantage de détails qui nous rapprochent un peu plus des personnages. L’émotion est bel et bien présente à la lecture du livre et, pour ma part, elle fut encore plus grande. Hé oui ! il faut le faire pour pleurer devant un livre...