Maman pour le dîner

La mère de Septième Seltzer est morte. Ça arrive. Le problème, ce n'est pas la mort de cette affreuse personne qui a traumatisé ses treize enfants. Non, le problème, c'est qu'appartenant à la communauté cannibalo-américaine, la famille Seltzer va devoir manger la daronne pour avoir l'héritage. Commence alors une course contre la montre pour découper et répartir Madame Seltzer avant qu'elle ne tourne. Vingt-quatre heures au cours desquelles tous les membres de la famille Seltzer vont devoir regarder leur héritage en face, surtout Septième. Septième vit carrément une crise existentielle. Drôle, décalé, mais interrogeant tout de même notre obsession des origines et des petites boîtes dans lesquelles on adore se ranger (et ranger les autres), Maman pour le dîner est court mais compact, un brin délirant, parfois vraiment émouvant. C'est top.

J’ai commencé ce bouquin après avoir lu une bonne critique sur Bookstagram et ça ne l’a pas fait pour moi. Je m’attendais à un livre drôle et déjanté j’ai trouvé ça chiant et ennuyant. Au début du livre les descriptions à rallonge de septième sur les gens ou par la suite les personnages rien ne m’a fait accrocher. Je me suis forcer jusque un peu plus de la moitié et chose qui m’arrive rarement j’ai abandonner. Je n’ai ni ri ni souri à ce livre pour ma part un flop total.