Crystal bloom. Vol. 1. Un pétale de cristal et de sang

J’ai eu le plaisir de recevoir ce roman en avant première dans le cadre de l’opération "Lire avant tout le monde" sur Booknode. ⚠️ Trigger Warnings ! Ce roman comporte des scènes et des éléments qui peuvent heurter des lecteurs. J'ai eu un véritable coup de foudre pour ce roman. Il m'a été difficile de m'arrêter ne serait-ce qu'un instant pour ensuite reprendre ma lecture quelques heures plus tard. Chaque page semble exercer une force magnétique puissante, vous attirant inlassablement dans sa magie enchanteresse. Oser prétendre que ce roman ne détient qu’un pouvoir ensorcelant et une plume exceptionnellement saisissante me semble bien trop humble. Dépeindre les émotions que j'ai éprouvées en parcourant ces pages est un défi de taille car aucun mot ne semble lui rendre justice. Les personnages dégagent une vivacité saillante, nous entraînant dans une aventure captivante au côté d'Orlaith, aussi étonnante que parfois incisive. Les émotions d'Orlaith m'ont parfois profondément ému alors qu'elle affronte vaillamment ses peurs et n’hésite pas à confronter Rhordyn. Ainsi, elle nous offre des interactions délicieusement palpables qui insufflent une atmosphère électrisante et exaltante. L'évolution de l'histoire étincelle telle une gemme précieuse, enveloppée d'une intrigue mystérieuse au charme envoûtant avec des créatures aussi troublantes qu’étonnantes. Et que dire de cette conclusion frappante et insoutenable, si ce n'est qu'elle nous laisse avides de découvrir la suite des événements. Hélas, il va falloir faire preuve de patience pour en apprendre davantage. Je me ferai un plaisir immense de prendre la version relié le 12 septembre.

C'est un premier tome qui fait réagir, donne envie de se jeter sur la suite. C'est réussi. On a hâte d'en savoir plus sur les personnes, parce que même si ce premier opus est bourré d'informations, on est complètement dans le flou ! Je sors de là avec deux phrases qui ne m'ont pas quittées pendant cette lecture : "Bien fait ! Tu mérites bien pire" et "Auto-flagélation ? Ok, viens faire un câlin". Les protagonistes masculins sont bien trop mystérieux.