L'assassin royal. Vol. 7. Le prophète blanc

Malgré les quinze ans d'écart avec le cycle précédent, les retrouvailles avec Fitz et ses proches sont naturelles. Le style narratif a subtilement évolué pour s'adapter à son âge. On suit désormais un adulte qui a su se forger une nouvelle vie, mais que le devoir appelle de nouveau. Ce premier tome du cycle agit comme une introduction tranquille qui donne envie de se plonger dans la suite pour vraiment renouer avec l'action.

Quel plaisir de retrouver Fitz, le fou, Umbre… Fitz s’est retiré loin du tumulte de Castelcerf, mais Castelcerf et notamment Devoir, fils de Kettrincken et Vérité, le rappelle à lui. On sent que le Vif va être au cœur de cette histoire. Et comme d’habitude avec Robin Hobb, tous les éléments se mettent en place et on a qu’une envie : lire la suite.