Dernier arrêt avant l'automne

Ouvrir ses yeux et son odorat, respirer, errer et aimer. Telles sont les qualités humaines reconnues transmises par ce court texte poétique.

Je l’ai trouvé à la fois long ( alors qu’il fait moins de deux cent pages) et bâclé. La description des lieux est je trouve beaucoup trop développer par rapport à l’intrigue qui se passe sur la dernier tiers du livre.

Une belle balade d'automne et de début d'hiver dans la Provence inondée de lumière. Même si l'intrigue policière est à mon avis un peu facile, on sort de là ravi. A lire en temps de confinement

Le narrateur vit de petits boulots qui lui laissent du temps pour écrire. Grâce à Pascal, un ami libraire dans un bourg de Provence, il trouve un travail idéal : gardien d'un monastère inhabité, niché dans les collines. Il s'installe dans cet endroit très solitaire ... La vie s’y coule avec douceur loin d’un monde sur le chemin de sa perte. Entre les ronronnements d’un chaton, une nature à débroussailler et la chaleur mystérieuse des vieilles pierres. La page blanche finira par se remplir au gré des souvenirs, des couleurs, des odeurs ... L’amitié y est contée, ainsi que l’amour ... avec beaucoup de sensibilité et au final l’énigme n’a que peu de place dans ce très joli roman. Un moment de bonheur à consommer sans modération.

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