Tout est bruit pour qui a peur

Table des matières Préface de Hugues Dufourt Introduction : Colère et démolition I - Pour une histoire sociale du son sale 1968 et la crise de culture. Culture de masse et art populaire Le miroir de l'art savant L'esprit de communauté, le souffle de l'improvisation Les stratégies de la modernité Une musique sous influences L'excarnation culturelle II - La parasitose de la Pop Music La musique et son trouble. Questions de société... Les outils de la parasitose Les lieux de l'introspection Être ou ne pas être : Rock, Communisme, Glastnost, Perestroïka, Televisor, Auktsion, Autographe, The Who... L'appropriation du monde Stylistique et culture urbaines Violence moderne et hyperréalisme Catharsis et collectivité III - Aspect de la conquête du son-bruit : le son sale de la musique savante La nature de l'artifice Le son hors-la-loi L'artifice de la nature Universalité des lois de la nature L'âge de la machine La percussion en questions Le piano dépossédé La voix trahie, le théâtre travesti De la terminologie du son-bruit : « noyse », « nosa », « nausa », « noise », « nauseous », « rumore » Essai de classement du son-bruit Le signal sonore mimologique Le formant compositif et performatif IV - Conclusion : Insignifiance, indifférence, dislocation, dispersion Bibliographie Textes de P.A Castanet Sources Primaires Sources secondaires Pop music et pop art Art savant Sociologie générale Divers Sources des exemples musicaux Index