La marchande d'antiquités de Venise

Malgré une première moitié bien trop longuette à mon goût, j'ai réussi à accrocher à ce roman grâce à la présence de Livia, pourtant détestable, mais qui a tenu le récit à bout de bras. Cette femme singulière, les secrets dissimulés et l'ambiance particulière de Londres et de ses quais ont réussi à me tenir captivée, même si l'ennui a bien souvent pointé le bout de son nez sur certains chapitres. Heureusement, l'aventure est devenue plus intéressante en seconde partie, avec de l'action, des révélations et la mise en lumière de personnages secondaires. Ressenti en demi-teinte donc, mais je reste satisfaite de ma lecture.

❝ 𝘑𝘦 𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘯𝘴𝘦 𝘱𝘢𝘴 𝘲𝘶’𝘶𝘯 𝘦𝘯𝘧𝘢𝘯𝘵 𝘱𝘶𝘪𝘴𝘴𝘦 𝘦𝘯 𝘳𝘦𝘮𝘱𝘭𝘢𝘤𝘦𝘳 𝘶𝘯 𝘢𝘶𝘵𝘳𝘦. ❞ ・La Marchande d’antiquités de Venise - Philippa Gregory ⇢ Eh bien, malgré qu’encore une fois je sois époustouflée par la plume de cette autrice, le coup de cœur n’y est pas et pourtant il m’a pas manqué grand-chose. Je pense que le personnage de Livia m’a vraiment dérangée. Je n’ai pas pu la blairer du début à la fin et ses attitudes m’ont vraiment tapé sur les nerfs. Et n’en parlons pas de James ! MAIS … il fallait bien ça pour remuer ce roman d’une telle qualité historique et lui donner une bonne dynamique. ❝ 𝘊𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘴𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘪𝘭 𝘲𝘶𝘦 𝘮𝘰𝘯 𝘧𝘪𝘭𝘴 𝘢𝘪𝘵 𝘦́𝘵𝘦́ 𝘦𝘯𝘨𝘭𝘰𝘶𝘵𝘪 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘢𝘶𝘹 𝘴𝘢𝘯𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘫𝘦 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘦𝘯𝘵𝘦 ? 𝘈𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘢 𝘮𝘦̂𝘮𝘦 𝘦𝘢𝘶 𝘴𝘵𝘢𝘨𝘯𝘦 𝘥𝘦́𝘴𝘰𝘳𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘮𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘮𝘰𝘯𝘴 ? ❞ ⇢ On retrouve dans ce deuxième tome le côté féministe omniprésent dans le premier. Toujours énormément de mystères, de secrets, de mensonges. Et puis cette ambiance un peu brumeuse que j’adore ! En revanche, j’ai moins apprécié les parties qui concernent Ned et la Nouvelle Angleterre. Elles donnent une certaine longueur au récit et bien que très instructives, je ne trouve pas qu’elles apportent beaucoup d’intérêt au roman et à son histoire ce n’est ce qu’un côté philosophique qui peut être sympa. Ce ci étant dit, j’ai déjà hâte de connaître la suite. 🙊 ❝ 𝘐𝘭 𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘴𝘶̂𝘳 𝘲𝘶𝘦 𝘴𝘢 𝘮𝘦̀𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘴𝘢 𝘴œ𝘶𝘳 𝘭𝘶𝘪 𝘢𝘶𝘳𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘧𝘧𝘪𝘳𝘮𝘦́ 𝘲𝘶𝘦 𝘤’𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘷𝘪𝘴𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶𝘦 𝘢𝘶 𝘥𝘰𝘯, 𝘦𝘵 𝘲𝘶’𝘪𝘭 𝘷𝘦𝘯𝘢𝘪𝘵 𝘥𝘦 𝘧𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘴𝘦𝘴 𝘢𝘥𝘪𝘦𝘶𝘹 𝘢 𝘞𝘶𝘴𝘴𝘢𝘶𝘴𝘮𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘥𝘦𝘳𝘯𝘪𝘦̀𝘳𝘦 𝘧𝘰𝘪𝘴 […]. ❞